Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Coeur Eucharistique de Jésus

L’amende payée de bonne grâce.

Personne n’ignore qu’en Angleterre il exista pendant longtemps des lois injustes ayant pour but de paralyser l’exercice des cérémonies religieuses. Or, un jour il arriva qu’un fervent catholique, jouissant d’une grande fortune, fut condamné à payer cinq cents pièces d’or, parce qu’il avait osé assister à la Messe. Le catholique chercha les plus belles pièces d’or portugaises qu’il put trouver, portant l’empreinte d’une croix, et présenta la somme entière au tribunal. Comme il les comptait devant l’employé protestant, celui-ci se mit à sourire et lui demanda, plein d’étonnement, le motif pour lequel il employait de si belles pièces pour payer son amende. À cette question faite d’un ton ironique, le catholique se contenta de répondre: «Je croirais pécher en payant avec une monnaie plus commune et plus ordinaire, la grâce qui m’a été faite de pouvoir adorer mon Sauveur et mon Dieu dans le saint Sacrement de l’autel. Sachez-aussi, Monsieur, qu’entre la croix dont vous voyez l’image empreinte sur cette pièce, et le saint Sacrement de l’Autel, il existe plusieurs traits d’analogie, car tous deux sont des monuments de l’amour infini de notre Sauveur.»

Autres histoires...

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L’amende payée de bonne grâce.

Personne n’ignore qu’en Angleterre il exista pendant longtemps des lois injustes ayant pour but de paralyser l’exercice des cérémonies religieuses. Or, un jour il arriva qu’un fervent catholique, jouissant d’une grande fortune, fut condamné à payer cinq cents pièces d’or, parce qu’il avait osé assister à la Messe. Le catholique chercha les plus belles pièces d’or portugaises qu’il put trouver, portant l’empreinte d’une croix, et présenta la somme entière au tribunal. Comme il les comptait devant l’employé protestant, celui-ci se mit à sourire et lui demanda, plein d’étonnement, le motif pour lequel il employait de si belles pièces pour payer son amende. À cette question faite d’un ton ironique, le catholique se contenta de répondre: «Je croirais pécher en payant avec une monnaie plus commune et plus ordinaire, la grâce qui m’a été faite de pouvoir adorer mon Sauveur et mon Dieu dans le saint Sacrement de l’autel. Sachez-aussi, Monsieur, qu’entre la croix dont vous voyez l’image empreinte sur cette pièce, et le saint Sacrement de l’Autel, il existe plusieurs traits d’analogie, car tous deux sont des monuments de l’amour infini de notre Sauveur.»

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