Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Saint Joseph

Vertu de l’aumône.

Faire l’aumône à un pauvre pour honorer la pauvreté du Patriarche saint Joseph, est une excellente pratique qui attire d’abondantes bénédictions.

Un homme indifférent, incrédule, allait mourir; il allait mourir le blasphème sur les lèvres, le désespoir dans le cœur. Sa femme, ange de piété, priait et pleurait auprès de lui; un prêtre, ami de la famille, priait et pleurait aussi, et Dieu paraissait ne pas les entendre. Cependant la mort arrivait à grands pas. «Allez vite, dit le ministre de la religion à l’épouse éplorée, allez chercher un pauvre et faites-lui l’aumône au nom de saint Joseph, pour la conversion de votre mari.» Elle courut tout éperdue dans les rues, rencontra un vieillard couvert de haillons, lui donna une large aumône en lui disant de prier pour la conversion d’un pauvre pécheur qui était sur le point de mourir; et en ce même moment, le malade avait pris la main du prêtre, l’avait baisée avec larmes et avait demandé son pardon. La conversion fut sincère et édifiante. Quelques heures après, cet homme entrait dans la gloire de Dieu, sauvé par l’aumône donnée au nom de saint Joseph, et par la prière du pauvre, et son épouse en pleurant regardait le Ciel où elle avait la confiance de retrouver un jour cette âme chérie.

Charité récompensée.

Un prêtre racontait:

Le lundi de cette semaine, 27 septembre, me rendant à la gare du chemin de fer d’Avignon, après une journée passée à la campagne, je m’aperçus tout à coup que j’avais perdu mon portefeuille. Saisi d’une subite terreur, je me fouillai de toutes les manières et à plusieurs reprises, pour m’assurer que réellement avait disparu de ma poche la plus profonde, la plus intérieure, ce portefeuille exceptionnellement rempli de valeurs considérables et de papiers très importants. Après un instant de réflexion, dont Dieu seul a pu mesurer la suprême angoisse, je m’adresse à saint Joseph et à la Sainte Famille. Je Leur dis en toute simplicité: «Faites-moi retrouver mon portefeuille.» Je me recueillis en priant spécialement saint Joseph de me venir en aide. Troublé, mais non désespéré, je restai là immobile. La nuit était tombée. Impossible de reprendre pour ce soir le chemin que je venais de parcourir… Au même instant, je vis venir à moi, à travers les nombreux visiteurs qui s’agitaient dans la salle d’attente, une personne bien connue, mon cher neveu, jeune homme qui m’avait conduit à la ville. Mon cœur ému comprit que saint Joseph m’avait exaucé et que la Sainte Famille avait eu pitié de moi. Avec un sourire d’ange, ce jeune homme me montra le portefeuille égaré qu’il avait, par bonheur et par une protection divine, retrouvé sous ses pieds, dans le véhicule champêtre qui nous avait portés, et d’où il aurait pu, la nuit venue, tomber facilement sur le chemin public. La parole me manquait pour le remercier; mon regard et mes profondes émotions lui en disaient assez. Ses yeux se remplirent de larmes, et c’est ainsi que l’oncle et le neveu rendirent grâces à Dieu d’une faveur dont mon cœur reconnaissant ne perdra jamais le souvenir.

Pour l’amour et la gloire de la Sainte Famille, et pour propager une pieuse pratique en Son honneur, je vous dirai, mon très révérend Père, à quoi je crois devoir attribuer une aussi prompte et aussi bienveillante assistance.

Dans tous mes voyages, j’éprouve le besoin de donner une aumône au premier pauvre que je rencontre, pour obtenir de Dieu une particulière bénédiction, et je ressens une profonde satisfaction à la faire au nom de la Sainte Famille. Quand ce pauvre est un enfant, je lui donne au nom de l’Enfant-Jésus; si c’est une femme, je lui donne au nom de la Sainte Vierge; c’est au nom de saint Joseph, quand c’est un homme, surtout un vieillard. Mais le comble de ma joie, c’est quand, dans le cours de mon voyage, principalement au début, j’ai pu séparément faire l’aumône au nom et en l’honneur des trois personnes qui composent la Sainte Famille.

Or, le 21 septembre, j’avais eu le bonheur, dès mon arrivée à une ville voisine, de déposer une modeste aumône dans les mains amaigries de trois vieilles femmes, dans l’intention formelle d’honorer la Sainte Famille, Jésus, Marie, Joseph. Oh! que bien généreusement la Sainte Famille me l’a rendu, le soir de cette même journée, en me faisant si promptement et si providentiellement retrouver ce que j’avais perdu. Je n’en doute nullement, c’est à Elle que je dois, comme récompense d’une triple aumône faite en Son nom, le bienfait que je me fais un devoir de signaler à la piété et à la reconnaissance de toute âme dévouée à saint Joseph et à la Sainte Famille.

B…, prêtre.

C’est une idée excellente d’unir à nos prières un acte coûteux: le sacrifice de quelque chose qui nous tient à cœur ajoute un poids irrésistible à notre supplique.

Autres histoires...

Saint Joseph

Vertu de l’aumône.

Faire l’aumône à un pauvre pour honorer la pauvreté du Patriarche saint Joseph, est une excellente pratique qui attire d’abondantes bénédictions.

Un homme indifférent, incrédule, allait mourir; il allait mourir le blasphème sur les lèvres, le désespoir dans le cœur. Sa femme, ange de piété, priait et pleurait auprès de lui; un prêtre, ami de la famille, priait et pleurait aussi, et Dieu paraissait ne pas les entendre. Cependant la mort arrivait à grands pas. «Allez vite, dit le ministre de la religion à l’épouse éplorée, allez chercher un pauvre et faites-lui l’aumône au nom de saint Joseph, pour la conversion de votre mari.» Elle courut tout éperdue dans les rues, rencontra un vieillard couvert de haillons, lui donna une large aumône en lui disant de prier pour la conversion d’un pauvre pécheur qui était sur le point de mourir; et en ce même moment, le malade avait pris la main du prêtre, l’avait baisée avec larmes et avait demandé son pardon. La conversion fut sincère et édifiante. Quelques heures après, cet homme entrait dans la gloire de Dieu, sauvé par l’aumône donnée au nom de saint Joseph, et par la prière du pauvre, et son épouse en pleurant regardait le Ciel où elle avait la confiance de retrouver un jour cette âme chérie.

Charité récompensée.

Un prêtre racontait:

Le lundi de cette semaine, 27 septembre, me rendant à la gare du chemin de fer d’Avignon, après une journée passée à la campagne, je m’aperçus tout à coup que j’avais perdu mon portefeuille. Saisi d’une subite terreur, je me fouillai de toutes les manières et à plusieurs reprises, pour m’assurer que réellement avait disparu de ma poche la plus profonde, la plus intérieure, ce portefeuille exceptionnellement rempli de valeurs considérables et de papiers très importants. Après un instant de réflexion, dont Dieu seul a pu mesurer la suprême angoisse, je m’adresse à saint Joseph et à la Sainte Famille. Je Leur dis en toute simplicité: «Faites-moi retrouver mon portefeuille.» Je me recueillis en priant spécialement saint Joseph de me venir en aide. Troublé, mais non désespéré, je restai là immobile. La nuit était tombée. Impossible de reprendre pour ce soir le chemin que je venais de parcourir… Au même instant, je vis venir à moi, à travers les nombreux visiteurs qui s’agitaient dans la salle d’attente, une personne bien connue, mon cher neveu, jeune homme qui m’avait conduit à la ville. Mon cœur ému comprit que saint Joseph m’avait exaucé et que la Sainte Famille avait eu pitié de moi. Avec un sourire d’ange, ce jeune homme me montra le portefeuille égaré qu’il avait, par bonheur et par une protection divine, retrouvé sous ses pieds, dans le véhicule champêtre qui nous avait portés, et d’où il aurait pu, la nuit venue, tomber facilement sur le chemin public. La parole me manquait pour le remercier; mon regard et mes profondes émotions lui en disaient assez. Ses yeux se remplirent de larmes, et c’est ainsi que l’oncle et le neveu rendirent grâces à Dieu d’une faveur dont mon cœur reconnaissant ne perdra jamais le souvenir.

Pour l’amour et la gloire de la Sainte Famille, et pour propager une pieuse pratique en Son honneur, je vous dirai, mon très révérend Père, à quoi je crois devoir attribuer une aussi prompte et aussi bienveillante assistance.

Dans tous mes voyages, j’éprouve le besoin de donner une aumône au premier pauvre que je rencontre, pour obtenir de Dieu une particulière bénédiction, et je ressens une profonde satisfaction à la faire au nom de la Sainte Famille. Quand ce pauvre est un enfant, je lui donne au nom de l’Enfant-Jésus; si c’est une femme, je lui donne au nom de la Sainte Vierge; c’est au nom de saint Joseph, quand c’est un homme, surtout un vieillard. Mais le comble de ma joie, c’est quand, dans le cours de mon voyage, principalement au début, j’ai pu séparément faire l’aumône au nom et en l’honneur des trois personnes qui composent la Sainte Famille.

Or, le 21 septembre, j’avais eu le bonheur, dès mon arrivée à une ville voisine, de déposer une modeste aumône dans les mains amaigries de trois vieilles femmes, dans l’intention formelle d’honorer la Sainte Famille, Jésus, Marie, Joseph. Oh! que bien généreusement la Sainte Famille me l’a rendu, le soir de cette même journée, en me faisant si promptement et si providentiellement retrouver ce que j’avais perdu. Je n’en doute nullement, c’est à Elle que je dois, comme récompense d’une triple aumône faite en Son nom, le bienfait que je me fais un devoir de signaler à la piété et à la reconnaissance de toute âme dévouée à saint Joseph et à la Sainte Famille.

B…, prêtre.

C’est une idée excellente d’unir à nos prières un acte coûteux: le sacrifice de quelque chose qui nous tient à cœur ajoute un poids irrésistible à notre supplique.

Autres histoires...

Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.