Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Saint Joseph

Une pauvre servante secourue par saint Joseph.

Je vous écris, moi, pauvre fille, qui gagne ma vie, depuis l’âge de quinze ans, au service des autres; me voilà arrivée à quarante ans; je vous assure que j’en ai vu de toutes les sortes; mais dans ce moment, je suis éprouvée plus que jamais. J’étais depuis vingt-huit mois au service d’une demoiselle; je l’avais prévenue que je m’en retournerais chez mes parents, qui désiraient beaucoup que j’aille avec eux, étant fort anciens et mal portants; toutefois, je donnais à ma maîtresse tout le temps voulu pour trouver une bonne fille. Elle en prend une, et elle me dit que je m’en irai quand je voudrai, qu’elle ne me renverra pas. Aujourd’hui elle me renvoie au commencement de l’hiver, et entretemps mes parents ont été accueillis chez les Petites Sœurs des Pauvres et ne me demandent plus. Me voilà donc sur le pavé; je ne savais plus de quel côté me tourner; je me suis recommandée à saint Joseph; j’ai fait une neuvaine de jeûnes et une de communions; je l’ai prié de tout mon cœur; je ne lui ai pas demandé autre chose que de me trouver une place où je pourrais servir le bon Dieu et L’aimer jusqu à mon dernier soupir. Je priais et repriais, et je n’obtenais rien. Enfin, un jour, je m’aperçus que j’étais plus tranquille; je n’étais plus si tourmentée: c’était assurément beaucoup; je me résignai à la volonté du bon Dieu. Mais il ne se présentait pas de place, et ma maîtresse m’en faisait souffrir tant qu’elle pouvait, répétant que j’étais libre de partir quand je voudrais, qu’elle serait contente quand je m’en irais, et elle le disait à tout le monde. Mon pauvre cœur était si malade, qu’il n’en pouvait plus.

Enfin, un mercredi soir, je vais devant l’autel de saint Joseph; voici ce que je lui dis: «Bon saint Joseph, je ne mérite pas que vous m’écoutiez, car je ne prie pas assez bien; si cependant vous voulez m’exaucer, je porterai une offrande à votre autel, et mercredi j’y ferai brûler deux bougies, et je jeûnerai en votre honneur.» Après toutes ces belles promesses, je sors tranquille, en me disant: «Je ne m’occuperai plus de rien; saint Joseph a mon affaire entre les mains: pour me trouver une place, qu’il fasse ce qu’il voudra.»

Le jeudi, pendant que je dînais, j’entends sonner à la porte, je regarde, je vois une personne habillée de noir. C’était une de mes amies, je lui dis: «Tiens, vous voilà ici! – Oui, me dit-elle, je viens vous chercher; il faut une cuisinière à M. le principal et il est là sur la route qui se promène en nous attendant.» Je ne lui fais pas d’autre réponse que celle-ci: «C’est saint Joseph qui m’a trouvé cette place.» Je vous assure, mon révérend Père, que je serai fidèle à toutes mes promesses.

Marie L….

Si souvent dans la vie, des problèmes nous semblent sans solution! Mais saint Joseph à qui Dieu prête Sa puissance, peut tout régler comme un jeu d’enfant. Recourons donc à lui avec une foi inébranlable en chacun de nos besoins.

Autres histoires...

Saint Joseph

Une pauvre servante secourue par saint Joseph.

Je vous écris, moi, pauvre fille, qui gagne ma vie, depuis l’âge de quinze ans, au service des autres; me voilà arrivée à quarante ans; je vous assure que j’en ai vu de toutes les sortes; mais dans ce moment, je suis éprouvée plus que jamais. J’étais depuis vingt-huit mois au service d’une demoiselle; je l’avais prévenue que je m’en retournerais chez mes parents, qui désiraient beaucoup que j’aille avec eux, étant fort anciens et mal portants; toutefois, je donnais à ma maîtresse tout le temps voulu pour trouver une bonne fille. Elle en prend une, et elle me dit que je m’en irai quand je voudrai, qu’elle ne me renverra pas. Aujourd’hui elle me renvoie au commencement de l’hiver, et entretemps mes parents ont été accueillis chez les Petites Sœurs des Pauvres et ne me demandent plus. Me voilà donc sur le pavé; je ne savais plus de quel côté me tourner; je me suis recommandée à saint Joseph; j’ai fait une neuvaine de jeûnes et une de communions; je l’ai prié de tout mon cœur; je ne lui ai pas demandé autre chose que de me trouver une place où je pourrais servir le bon Dieu et L’aimer jusqu à mon dernier soupir. Je priais et repriais, et je n’obtenais rien. Enfin, un jour, je m’aperçus que j’étais plus tranquille; je n’étais plus si tourmentée: c’était assurément beaucoup; je me résignai à la volonté du bon Dieu. Mais il ne se présentait pas de place, et ma maîtresse m’en faisait souffrir tant qu’elle pouvait, répétant que j’étais libre de partir quand je voudrais, qu’elle serait contente quand je m’en irais, et elle le disait à tout le monde. Mon pauvre cœur était si malade, qu’il n’en pouvait plus.

Enfin, un mercredi soir, je vais devant l’autel de saint Joseph; voici ce que je lui dis: «Bon saint Joseph, je ne mérite pas que vous m’écoutiez, car je ne prie pas assez bien; si cependant vous voulez m’exaucer, je porterai une offrande à votre autel, et mercredi j’y ferai brûler deux bougies, et je jeûnerai en votre honneur.» Après toutes ces belles promesses, je sors tranquille, en me disant: «Je ne m’occuperai plus de rien; saint Joseph a mon affaire entre les mains: pour me trouver une place, qu’il fasse ce qu’il voudra.»

Le jeudi, pendant que je dînais, j’entends sonner à la porte, je regarde, je vois une personne habillée de noir. C’était une de mes amies, je lui dis: «Tiens, vous voilà ici! – Oui, me dit-elle, je viens vous chercher; il faut une cuisinière à M. le principal et il est là sur la route qui se promène en nous attendant.» Je ne lui fais pas d’autre réponse que celle-ci: «C’est saint Joseph qui m’a trouvé cette place.» Je vous assure, mon révérend Père, que je serai fidèle à toutes mes promesses.

Marie L….

Si souvent dans la vie, des problèmes nous semblent sans solution! Mais saint Joseph à qui Dieu prête Sa puissance, peut tout régler comme un jeu d’enfant. Recourons donc à lui avec une foi inébranlable en chacun de nos besoins.

Autres histoires...

Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.