Une histoire pour chaque jour...
Le Prédicateur du Rosaire
Le saint Rosaire de la Mère de Dieu fut le sujet ordinaire des prédications de Florent Puteano, Religieux Dominicain. Il ne monta jamais en chaire sans trouver occasion de parler des avantages de cette céleste dévotion. Dieu bénit son zèle et opéra plusieurs miracles afin de témoigner combien Lui étaient agréables les exhortations qu’il adressait au peuple pour lui recommander cette sainte prière. Une femme réduite au plus affreux désespoir s’était donnée au démon, avait renoncé à sa dévotion à la Sainte Vierge et à la récitation du Rosaire; un écrit signé de sa main et confié à Satan avait confirmé cette renonciation coupable. Le saint apôtre du Rosaire, ayant appris ce triste événement, entreprit de porter secours à cette âme infortunée; il persuada à la malheureuse de se confesser, l’admit à la confrérie du Rosaire, et célébra pour elle la messe à l’autel de la Sainte Vierge. Sur la fin du saint Sacrifice, on vit le billet tomber au pied de l’autel; c’était une preuve que le démon avait été contraint par Marie de rompre l’engagement pris par cette femme, et de lui accorder sa liberté primitive.
(Barri, Journ., 26 octobre)
Autres histoires...
Le Prédicateur du Rosaire
Le saint Rosaire de la Mère de Dieu fut le sujet ordinaire des prédications de Florent Puteano, Religieux Dominicain. Il ne monta jamais en chaire sans trouver occasion de parler des avantages de cette céleste dévotion. Dieu bénit son zèle et opéra plusieurs miracles afin de témoigner combien Lui étaient agréables les exhortations qu’il adressait au peuple pour lui recommander cette sainte prière. Une femme réduite au plus affreux désespoir s’était donnée au démon, avait renoncé à sa dévotion à la Sainte Vierge et à la récitation du Rosaire; un écrit signé de sa main et confié à Satan avait confirmé cette renonciation coupable. Le saint apôtre du Rosaire, ayant appris ce triste événement, entreprit de porter secours à cette âme infortunée; il persuada à la malheureuse de se confesser, l’admit à la confrérie du Rosaire, et célébra pour elle la messe à l’autel de la Sainte Vierge. Sur la fin du saint Sacrifice, on vit le billet tomber au pied de l’autel; c’était une preuve que le démon avait été contraint par Marie de rompre l’engagement pris par cette femme, et de lui accorder sa liberté primitive.
(Barri, Journ., 26 octobre)
