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Exclusive Representation of the Nativity Scene.
Une personne âgée de trente-six ans, habitait un hameau de l’importante commune de Beveren, au pays de Waes. Elle se nommait Marie-Louise Keppens. Depuis seize ans elle souffrait de terribles douleurs névralgiques, qui la mettaient dans l’impuissance de se mouvoir et d’aller à l’église. Trois médecins avaient déclaré le mal incurable. La pauvre fille, abandonnée des hommes de l’art, eut la pensée de se rendre au pèlerinage de Gand pour y invoquer Notre-Dame du Rosaire dans l’église des Dominicains. Vainement on chercha à l’en dissuader, il fallut la conduire devant la statue vénérée dans cette ville. Pendant le salut, Marie Keppens récitait pieusement son chapelet. Tout à coup elle ressent un étrange frisson, et elle dit à sa sœur: «Je crois que je suis guérie.» Sa sœur lui fit signe de garder le silence, et ce fut en sortant de l’église qu’on constata sa guérison. Elle commença à marcher seule, et fit le trajet à pied jusqu’à la station de Waes éloignée d’une demi-lieue. C’était au commencement d’octobre 1885. Plusieurs journaux ont rapporté le fait. Les habitants de Beveren, frappés du prodige, firent à la fin du mois un pèlerinage d’actions de grâces au même sanctuaire, où se rendit encore Marie Keppens, pour remercier sa céleste Bienfaitrice. Inutile de dire que la récitation du chapelet est l’exercice préféré de ces pèlerinages.
Pèlerins que nous sommes ici-bas, dans cette vallée de larmes, avançons chaque jour vers la Jérusalem du ciel, en récitant sur notre route le très saint Rosaire de Marie.
Une personne âgée de trente-six ans, habitait un hameau de l’importante commune de Beveren, au pays de Waes. Elle se nommait Marie-Louise Keppens. Depuis seize ans elle souffrait de terribles douleurs névralgiques, qui la mettaient dans l’impuissance de se mouvoir et d’aller à l’église. Trois médecins avaient déclaré le mal incurable. La pauvre fille, abandonnée des hommes de l’art, eut la pensée de se rendre au pèlerinage de Gand pour y invoquer Notre-Dame du Rosaire dans l’église des Dominicains. Vainement on chercha à l’en dissuader, il fallut la conduire devant la statue vénérée dans cette ville. Pendant le salut, Marie Keppens récitait pieusement son chapelet. Tout à coup elle ressent un étrange frisson, et elle dit à sa sœur: «Je crois que je suis guérie.» Sa sœur lui fit signe de garder le silence, et ce fut en sortant de l’église qu’on constata sa guérison. Elle commença à marcher seule, et fit le trajet à pied jusqu’à la station de Waes éloignée d’une demi-lieue. C’était au commencement d’octobre 1885. Plusieurs journaux ont rapporté le fait. Les habitants de Beveren, frappés du prodige, firent à la fin du mois un pèlerinage d’actions de grâces au même sanctuaire, où se rendit encore Marie Keppens, pour remercier sa céleste Bienfaitrice. Inutile de dire que la récitation du chapelet est l’exercice préféré de ces pèlerinages.
Pèlerins que nous sommes ici-bas, dans cette vallée de larmes, avançons chaque jour vers la Jérusalem du ciel, en récitant sur notre route le très saint Rosaire de Marie.
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