Père Jean-Grégoire en compagnie des bienfaiteurs qui ont donné leur propriété pour la fondation de la mission à Gualaceo.

Père Jean-Grégoire, revêtu d'une étole tissée par des indigènes, baptise un nouveau-né.
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Un travail d'équipe pour amasser des pierres qui serviront à la construction de l'église. Chacun est heureux de contribuer.

On n'a pas le luxe d'une grue pour transporter une dalle de béton? L'union fait la force et on y arrive tous ensemble.

Le travail est réalisé avec enthousiasme. C'est pour le bon Dieu et les Padres, qui paient largement par leurs services désintéressés.

Les bonnes gens de Gualaceo
sont sincèrement attachés à leurs missionnaires canadiens.

Faute de solide fondation, la première maison menace de s'écrouler. Les fidèles aident les Pères à bâtir un nouveau logis.

Cuenca. Les religieuses mettent la main pour aménager leur nouveau couvent dans une maison donnée par un bienfaiteur.

Construction de l'église à Gualaceo. Quand ils ne sont pas occupés aux fonctions du ministère, les Pères travaillent
avec les ouvriers.

Gualaceo. Avec des moyens de fortune, on travaille à affermir la fondation de la nouvelle église.

L'église de Gualaceo sera le fruit d'un bel effort collectif. Un ingénieur supervise les travaux. Parfois, la municipalité prête gratuitement une pelle mécanique et son opérateur.

Corvée pour couler l'escalier principal de l'église. Avec de petits moyens et beaucoup de dévouement, on arrive
à d'excellents résultats.

Mission San José à Gualaceo.
Les fidèles sont assidus à fréquenter
cette église qu'ils ont largement
contribué à construire.
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Près de l'église toute neuve,
Père Mathurin et quelques membres de la Mission San José à Gualaceo.
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Un moment de détente
avec les bonnes gens de Gualaceo.

En tournée apostolique
chez des habitants des montagnes, vêtus de l'élégant costume traditionnel.

Une religieuse offre un calendrier. Les petits marchands contribuent au soutien des missionnaires.

Au marché, des commerçants
troquent le calendrier religieux pour des fruits ou des légumes.
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Leçon de tricot à des adolescentes qui passent un peu de temps avec les religieuses durant les grandes vacances.
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Distribution d'articles de première nécessité à des familles dans le besoin.
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Un médecin offre bénévolement son expertise aux enfants de familles d'ouvriers.
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Le transport à grande vitesse,
pour se rendre chez des gens qui réclament les services des missionnaires.
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Nos religieuses sur un pont de fortune. Il faut avoir le coeur et l'estomac solides pour s'y aventurer.
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Dans un village autochtone,
les Soeurs apportent espoir et réconfort à des familles défavorisées.
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Une religieuse soigne une dame en convalescence. Notre Communauté a contribué à lui assurer les soins nécessaires après un tragique accident.

Appelé au chevet d'un mourant,
le prêtre lui administre le sacrement de l'Extrême-Onction et le prépare à la mort qui le conduira à sa destinée éternelle.
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Les villageois autochtones sont toujours heureux d'accueilir leur Père dans la Foi et de recevoir réconfort et direction spirituelle.
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Avril 2016. Un séisme de magnitude 7,8 suivi de 713 fortes répliques ravage les provinces de Manabí et Esmeraldas. Certaines villes côtières sont entièrement détruites.

La zone sinistrée est à plus de 600 kms de nos missions. Quelque 1 000 kms de route sont détruits. Nos missionnaires organisent un convoi de ravitaillement qui prendra plus de 16 heures à se rendre.

Eau potable, fruits, riz et jusqu'à des poulets! Les amis de la mission ont participé à la corvée pour les nettoyer. Un camion réfrigéré est prêté aux Pères et la police escorte le convoi jusqu'à destination.

Près de 29 000 gens sans abri campent sous des tentes de fortune, sans eau, sans électricité, sans moyen de communication.

On voit ici le camion de ravitaillement.
Les provisions sont distribuées à ceux qui ont été plus durement touchés.

Beaucoup ont tout perdu, sauf la vie.
Il faut reconstruire à neuf. L'aide des missionnaires rallume l'espoir.

Au couvent de Cuenca: Distribution hebdomadaire de nourriture et d'articles de première nécessité aux familles.

Là comme partout, le bon Dieu nous gâte et comble nos besoins. C'est un plaisir de partager les dons de la Providence.

Chemin de Croix, Vendredi-Saint à Gualaceo. Chargés des différents instruments de la Passion, les fidèles montent vers l'église.

À Machala, dans la partie orientale et torride de l'Équateur, nos missionnaires ont bâti une église pour desservir la région.
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Machala. Simple et bien ouverte, car la chaleur y est souvent atroce, la chapelle de la Dolorosa est très fréquentée.
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Une procession traverse un quartier de la ville de Machala. Les prières répandent bénédictions et grâces sur le parcours.

Une cérémonie de Première Communion dans l'église de la Dolorosa à Machala.

Les enfants viennent nombreux au cours de catéchisme, offert à un coût minime.

C'est un honneur pour ces fidèles
de porter en procession la statue
de leur Mère et Reine.

Mais le vocable marial particulièrement cher au coeur des Équatoriens est celui de la Dolorosa. En 1906, dans un collège de Quito, un tableau de cette Vierge s'est animé, ouvrant et fermant les yeux plusieurs fois.