L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.
Lorsqu’en 1458 Mathias Corvin avait été élu roi de Hongrie, les magnats hongrois se rassemblèrent au château royal d’Ofen pour prêter serment au nouveau roi. Dans leur nombre se trouvait le prince Lazare de Serbie. En l’honneur des convives qui se trouvaient rassemblés au château le roi organisa plusieurs jours de fête et pendant qu’on s’amusait, un voleur sut se glisser dans les appartements royaux, espérant y trouver de grands trésors. À l’aide d’un passe-partout il était parvenu jusqu’à la chambre à coucher du prince Lazare de Serbie. Tout à coup il entendit un bruit de pas. Ne pouvant plus se sauver, il se cacha sous un lit, d’où il fut témoin d’un entretien entre Lazare de Serbie et sa femme. Le prince lui disait qu’il n’était pas venu par respect pour Mathias, mais pour attenter à sa vie. Sa femme faisait l’impossible pour le détourner de ce projet diabolique, mais sans réussir à fléchir son mari, qui lui enjoignit sous menaces de garder le silence. Après que les princes se furent endormis le voleur s’esquiva de la chambre, se fit arrêter par les gardes et demanda qu’on le fit conduire devant le roi, parce qu’il avait des confidences importantes à lui faire. On acquiesça à son désir et on le mena devant le roi, auquel il raconta l’entretien, dont il avait été le témoin. Comme le roi ne voulait point y croire, le bandit consentit à rester en prison jusqu’à ce que ses révélations se fussent vérifiées. Le roi adopta ce plan et observa attentivement le prince serbe, sans que celui-ci en conçût le moindre soupçon. Un beau jour le prince dit au roi que de pressantes affaires lui faisaient un devoir de rentrer dans ses États et qu’avant de partir il l’invitait à déjeuner avec lui dans ses appartements. Le roi accepta. Un serviteur apporta deux coupes de vin, dont il présenta l’une au roi. Mais Mathias invita le prince à en boire le premier. Le prince pâlit, mais sur l’ordre du roi il vida la coupe d’une main tremblante tandis que sa femme s’évanouissait en le voyant. Une heure après le prince Lazare avait expiré. Il était mort du poison qu’il avait préparé pour le roi. Le voleur fut récompensé de son service par un emploi avantageux où il put vivre en honnête homme. Le roi rendit grâce à Dieu de sa conservation miraculeuse.
La providence divine éclate dans ces faits, et de plus on y reconnaît la vérité du proverbe: «Qui tend un piège à autrui s’y prend souvent lui-même.»
Lorsqu’en 1458 Mathias Corvin avait été élu roi de Hongrie, les magnats hongrois se rassemblèrent au château royal d’Ofen pour prêter serment au nouveau roi. Dans leur nombre se trouvait le prince Lazare de Serbie. En l’honneur des convives qui se trouvaient rassemblés au château le roi organisa plusieurs jours de fête et pendant qu’on s’amusait, un voleur sut se glisser dans les appartements royaux, espérant y trouver de grands trésors. À l’aide d’un passe-partout il était parvenu jusqu’à la chambre à coucher du prince Lazare de Serbie. Tout à coup il entendit un bruit de pas. Ne pouvant plus se sauver, il se cacha sous un lit, d’où il fut témoin d’un entretien entre Lazare de Serbie et sa femme. Le prince lui disait qu’il n’était pas venu par respect pour Mathias, mais pour attenter à sa vie. Sa femme faisait l’impossible pour le détourner de ce projet diabolique, mais sans réussir à fléchir son mari, qui lui enjoignit sous menaces de garder le silence. Après que les princes se furent endormis le voleur s’esquiva de la chambre, se fit arrêter par les gardes et demanda qu’on le fit conduire devant le roi, parce qu’il avait des confidences importantes à lui faire. On acquiesça à son désir et on le mena devant le roi, auquel il raconta l’entretien, dont il avait été le témoin. Comme le roi ne voulait point y croire, le bandit consentit à rester en prison jusqu’à ce que ses révélations se fussent vérifiées. Le roi adopta ce plan et observa attentivement le prince serbe, sans que celui-ci en conçût le moindre soupçon. Un beau jour le prince dit au roi que de pressantes affaires lui faisaient un devoir de rentrer dans ses États et qu’avant de partir il l’invitait à déjeuner avec lui dans ses appartements. Le roi accepta. Un serviteur apporta deux coupes de vin, dont il présenta l’une au roi. Mais Mathias invita le prince à en boire le premier. Le prince pâlit, mais sur l’ordre du roi il vida la coupe d’une main tremblante tandis que sa femme s’évanouissait en le voyant. Une heure après le prince Lazare avait expiré. Il était mort du poison qu’il avait préparé pour le roi. Le voleur fut récompensé de son service par un emploi avantageux où il put vivre en honnête homme. Le roi rendit grâce à Dieu de sa conservation miraculeuse.
La providence divine éclate dans ces faits, et de plus on y reconnaît la vérité du proverbe: «Qui tend un piège à autrui s’y prend souvent lui-même.»
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Signe de la Croix
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.
Prière préparatoire
Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.
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