L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.
Codrus, roi d’Athènes, peut sous quelques rapports être rapproché de Jésus-Christ. Pendant son règne, les Doriens firent une invasion dans l’Attique, et l’oracle d’Apollon promit la victoire aux Athéniens si le roi Codrus était tué par les ennemis. Pour n’être pas épargné par l’ennemi qui connaissait l’oracle, le roi s’habilla en esclave et se lança dans la mêlée où il fut tué. Lorsque les Doriens reconnurent le cadavre ils s’enfuirent.
Il en est de même de Jésus-Christ. Les prophètes avaient prédit que la mort «du roi de gloire» sauverait le genre humain. Celui-ci prit donc la nature humaine et vint au monde. Le monde ne Le reconnut point et Le mit à mort. Après Sa mort Sa divinité éclata, et le prince des ténèbres reconnaissant sa défaite en même temps que son erreur, dut s’enfuir couvert de honte.
À peine l’empereur Constantin eut-il mis fin aux persécutions dans l’empire romain (313) que le démon suscita une dangereuse hérésie. C’était la doctrine d’Arius, prêtre d’Alexandrie, qui enseignait que Jésus-Christ n’était qu’une créature de Dieu. Bientôt Arius eut beaucoup de partisans, même au milieu du clergé. Afin d’éteindre cette hérésie un concile fut réuni à Nicée en 325. 318 évêques prirent part au concile et l’empereur Constantin y assista en personne. La divinité de Jésus-Christ fut prouvée par des passages de l’Écriture Sainte et le Concile décréta que le Fils est consubstantiel au Père. Arius, qui ne voulait pas rétracter son erreur, fut exilé par l’empereur Constantin. Plus tard les Ariens surent gagner l’empereur de sorte qu’il permit à l’hérésiarque de revenir: mais c’est là que le châtiment de Dieu attendait Arius. Pendant qu’on le menait en triomphe à la cathédrale de Constantinople, il pâlit tout-à-coup et s’éloigna pour quelques instants. Ne le voyant pas revenir, plusieurs de ses partisans allèrent voir ce qu’il faisait. Ils le trouvèrent mort, nageant dans son sang, et les entrailles hors du corps. Tout le monde y reconnut le bras vengeur de Dieu, à part quelques Ariens qui prétendaient qu’il avait succombé à un sortilège.
Répétons souvent les belles paroles: «Seigneur Jésus, je crois fermement que Vous êtes vraiment le Fils de Dieu.»
Codrus, roi d’Athènes, peut sous quelques rapports être rapproché de Jésus-Christ. Pendant son règne, les Doriens firent une invasion dans l’Attique, et l’oracle d’Apollon promit la victoire aux Athéniens si le roi Codrus était tué par les ennemis. Pour n’être pas épargné par l’ennemi qui connaissait l’oracle, le roi s’habilla en esclave et se lança dans la mêlée où il fut tué. Lorsque les Doriens reconnurent le cadavre ils s’enfuirent.
Il en est de même de Jésus-Christ. Les prophètes avaient prédit que la mort «du roi de gloire» sauverait le genre humain. Celui-ci prit donc la nature humaine et vint au monde. Le monde ne Le reconnut point et Le mit à mort. Après Sa mort Sa divinité éclata, et le prince des ténèbres reconnaissant sa défaite en même temps que son erreur, dut s’enfuir couvert de honte.
À peine l’empereur Constantin eut-il mis fin aux persécutions dans l’empire romain (313) que le démon suscita une dangereuse hérésie. C’était la doctrine d’Arius, prêtre d’Alexandrie, qui enseignait que Jésus-Christ n’était qu’une créature de Dieu. Bientôt Arius eut beaucoup de partisans, même au milieu du clergé. Afin d’éteindre cette hérésie un concile fut réuni à Nicée en 325. 318 évêques prirent part au concile et l’empereur Constantin y assista en personne. La divinité de Jésus-Christ fut prouvée par des passages de l’Écriture Sainte et le Concile décréta que le Fils est consubstantiel au Père. Arius, qui ne voulait pas rétracter son erreur, fut exilé par l’empereur Constantin. Plus tard les Ariens surent gagner l’empereur de sorte qu’il permit à l’hérésiarque de revenir: mais c’est là que le châtiment de Dieu attendait Arius. Pendant qu’on le menait en triomphe à la cathédrale de Constantinople, il pâlit tout-à-coup et s’éloigna pour quelques instants. Ne le voyant pas revenir, plusieurs de ses partisans allèrent voir ce qu’il faisait. Ils le trouvèrent mort, nageant dans son sang, et les entrailles hors du corps. Tout le monde y reconnut le bras vengeur de Dieu, à part quelques Ariens qui prétendaient qu’il avait succombé à un sortilège.
Répétons souvent les belles paroles: «Seigneur Jésus, je crois fermement que Vous êtes vraiment le Fils de Dieu.»
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Signe de la Croix
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.
Prière préparatoire
Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.
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