Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Saint Joseph

Une vocation pour les missions étrangères.

Depuis longtemps, je savais que saint Joseph était l’avocat des causes désespérées; c’est pourquoi, ayant un partage à faire dans lequel se soulevaient les plus grands embarras, après avoir consulté les hommes de loi, qui m’assuraient qu’un procès était presque indispensable, je résolu de m’adresser à saint Joseph et d’implorer son secours. Tout semblait contre moi, car tous les héritiers étaient déterminés à en venir à un procès; seule contre tous, je me jetai aux pieds du Patron de l’Église universelle, et je le conjurai d’arrêter ce procès scandaleux, qui devait avoir pour confident les choses les plus secrètes de notre famille, un public mal disposé, et peut-être même amener la ruine de ma chétive fortune et jeter l’ombrage sur l’avenir de ma famille.

Dans cette perplexité, je tournai mes regards vers saint Joseph et commençai en son honneur une neuvaine, pendant laquelle je fis offrir le saint sacrifice de la Messe, toujours à la même intention. La neuvaine était à peine finie, que les héritiers se trouvèrent tous d’accord, et que, loin de chercher à divulguer les secrets de la famille, ils furent les premiers à demander à ce que tout s’arrangeât en véritables frères.

Voilà un premier témoignage de la tendresse de saint Joseph envers son indigne servante; mais ce ne sera pas le dernier. En effet, Dieu m’avait donné un fils, sur lequel je faisais reposer toutes mes espérances et dont je désirais ardemment le bonheur et la sanctification. Cependant ce pauvre enfant était toujours inquiet au sujet du genre de vie qu’il devait embrasser. Tantôt il se donnait tout entier au bon Dieu, et tantôt les attraits du monde le faisaient changer de résolution. Dans son indécision, je lui conseillai de s’adresser à saint Joseph, envers lequel il avait toujours eu une très grande dévotion. Sur ces entrefaites, il tomba malade, et la maladie dont il était travaillé devait, d’après le docteur, le ravir à mon affection. Cependant le mal allait toujours en augmentant, et bientôt j’allais perdre toute espérance de le voir revenir à la vie. Là comme toujours je tournai mes regards vers saint Joseph, et je le suppliai d’avoir pitié de mon enfant

Celui-ci, plein de confiance aussi dans son saint Patron, promit à Notre-Dame de Fourvière et à saint Joseph de se consacrer à la vie religieuse s’il obtenait de leur puissante intercession le rétablissement de sa santé. Quelques jours après cette solennelle promesse, je m’aperçus que le malade prenait le dessus et que le mal allait en diminuant. Enfin, au bout de huit jours il se trouva en parfaite santé. Il ne s’agissait plus maintenant pour lui que d’accomplir sa promesse, et il y fut fidèle. Malgré tous les liens, toutes les affections qui l’attachaient au monde, il eut le courage de tout abandonner, même sa vieille mère, pour aller au-delà des grandes mers faire connaître et aimer Marie et Joseph.

Marie-Jeanne D.

Si saint Joseph s’empresse de nous secourir dans nos besoins temporels, combien met-il plus d’ardeur à assurer notre salut éternel!

Autres histoires...

Saint Joseph

Une vocation pour les missions étrangères.

Depuis longtemps, je savais que saint Joseph était l’avocat des causes désespérées; c’est pourquoi, ayant un partage à faire dans lequel se soulevaient les plus grands embarras, après avoir consulté les hommes de loi, qui m’assuraient qu’un procès était presque indispensable, je résolu de m’adresser à saint Joseph et d’implorer son secours. Tout semblait contre moi, car tous les héritiers étaient déterminés à en venir à un procès; seule contre tous, je me jetai aux pieds du Patron de l’Église universelle, et je le conjurai d’arrêter ce procès scandaleux, qui devait avoir pour confident les choses les plus secrètes de notre famille, un public mal disposé, et peut-être même amener la ruine de ma chétive fortune et jeter l’ombrage sur l’avenir de ma famille.

Dans cette perplexité, je tournai mes regards vers saint Joseph et commençai en son honneur une neuvaine, pendant laquelle je fis offrir le saint sacrifice de la Messe, toujours à la même intention. La neuvaine était à peine finie, que les héritiers se trouvèrent tous d’accord, et que, loin de chercher à divulguer les secrets de la famille, ils furent les premiers à demander à ce que tout s’arrangeât en véritables frères.

Voilà un premier témoignage de la tendresse de saint Joseph envers son indigne servante; mais ce ne sera pas le dernier. En effet, Dieu m’avait donné un fils, sur lequel je faisais reposer toutes mes espérances et dont je désirais ardemment le bonheur et la sanctification. Cependant ce pauvre enfant était toujours inquiet au sujet du genre de vie qu’il devait embrasser. Tantôt il se donnait tout entier au bon Dieu, et tantôt les attraits du monde le faisaient changer de résolution. Dans son indécision, je lui conseillai de s’adresser à saint Joseph, envers lequel il avait toujours eu une très grande dévotion. Sur ces entrefaites, il tomba malade, et la maladie dont il était travaillé devait, d’après le docteur, le ravir à mon affection. Cependant le mal allait toujours en augmentant, et bientôt j’allais perdre toute espérance de le voir revenir à la vie. Là comme toujours je tournai mes regards vers saint Joseph, et je le suppliai d’avoir pitié de mon enfant

Celui-ci, plein de confiance aussi dans son saint Patron, promit à Notre-Dame de Fourvière et à saint Joseph de se consacrer à la vie religieuse s’il obtenait de leur puissante intercession le rétablissement de sa santé. Quelques jours après cette solennelle promesse, je m’aperçus que le malade prenait le dessus et que le mal allait en diminuant. Enfin, au bout de huit jours il se trouva en parfaite santé. Il ne s’agissait plus maintenant pour lui que d’accomplir sa promesse, et il y fut fidèle. Malgré tous les liens, toutes les affections qui l’attachaient au monde, il eut le courage de tout abandonner, même sa vieille mère, pour aller au-delà des grandes mers faire connaître et aimer Marie et Joseph.

Marie-Jeanne D.

Si saint Joseph s’empresse de nous secourir dans nos besoins temporels, combien met-il plus d’ardeur à assurer notre salut éternel!

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Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.