Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Sacré-Coeur de Jésus

Piété du comte Elzéar de Sabran (1285-1323).

Il serait difficile d’exprimer combien furent grandes les tribulations par lesquelles Dieu éprouva et purifia la vertu de saint Elzéar, baron d’Ansouis et comte d’Ariano,. Il fut injustement dépouillé de ses biens, de son honneur, et eut d’autres maux à supporter. Au milieu de toutes ses douleurs, jamais on ne le vit donner le moindre signe de trouble; jamais la plus légère impatience. Un jour la comtesse Delphine, son épouse, lui demandant d’où pouvait venir cette tranquillité imperturbable, il lui répondit:

«Quand quelque chose d’affligeant s’offre à moi, aussitôt je me cache dans les plaies de Jésus-Christ; j’y considère tout ce qu’Il a souffert pour moi, et dès lors mes peines me paraissent légères.»

Un autre jour, pour réconforter la comtesse sa femme, qui était en peine sur son compte, il lui manda que quand elle aurait le désir de le trouver, elle devrait le chercher dans la plaie du Cœur de Jésus, parce que c’était l’endroit où il se retirait ordinairement, qu’il y était en sûreté, et qu’il y goûtait des douceurs amères et des amertumes pleines de douceur, dont son âme recevait une consolation indicible.

Autres histoires...

Sacré-Coeur de Jésus

Piété du comte Elzéar de Sabran (1285-1323).

Il serait difficile d’exprimer combien furent grandes les tribulations par lesquelles Dieu éprouva et purifia la vertu de saint Elzéar, baron d’Ansouis et comte d’Ariano,. Il fut injustement dépouillé de ses biens, de son honneur, et eut d’autres maux à supporter. Au milieu de toutes ses douleurs, jamais on ne le vit donner le moindre signe de trouble; jamais la plus légère impatience. Un jour la comtesse Delphine, son épouse, lui demandant d’où pouvait venir cette tranquillité imperturbable, il lui répondit:

«Quand quelque chose d’affligeant s’offre à moi, aussitôt je me cache dans les plaies de Jésus-Christ; j’y considère tout ce qu’Il a souffert pour moi, et dès lors mes peines me paraissent légères.»

Un autre jour, pour réconforter la comtesse sa femme, qui était en peine sur son compte, il lui manda que quand elle aurait le désir de le trouver, elle devrait le chercher dans la plaie du Cœur de Jésus, parce que c’était l’endroit où il se retirait ordinairement, qu’il y était en sûreté, et qu’il y goûtait des douceurs amères et des amertumes pleines de douceur, dont son âme recevait une consolation indicible.

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Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.