L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.
Saint Symphorien avait pour père Fauste, l’un des hommes les plus distingués de la ville d’Autun, et qui avait encore le malheur d’être attaché au culte des idoles. À l’insu de son époux, la mère, qui était une fervente chrétienne, avait élevé son fils dans les principes de la vraie religion. C’était à l’époque des persécutions, vers la fin du IIe siècle. Dans ces temps de sanglante mémoire, se déclarer hautement pour la religion de Jésus-Christ, parler avec mépris des cérémonies païennes, c’était courir au martyre. Symphorien, jeune homme à l’âme noble et sincère, ne pouvant un jour se dispenser de voir passer un cortège nombreux qui accompagnait la statue de Cybèle, portée sur un chariot pompeusement paré, fut pressé d’adorer la statue comme les autres; mais ce fut inutilement. Ayant donc été arrêté comme un séditieux et un impie, le juge le fit battre de verges et l’envoya en prison. Après plusieurs interrogatoires, toujours suivis de tourments inouïs, son arrêt de mort fut définitivement prononcé. Comme on le menait au lieu du supplice, hors de la ville, sa mère, craignant qu’il n’achevât pas son glorieux sacrifice, lui criait du haut des remparts: «Mon fils, souvenez-vous du Dieu vivant; armez-vous de constance et de force; élevez votre cœur en haut, et regardez Celui qui règne dans le ciel. On ne vous ôte point la vie; on ne fait que vous la changer en une meilleure; on vous conduit à un bonheur éternel. Le chemin est étroit et difficile, mais il est court.» Le saint martyr, animé par ce discours plein de feu, mais bien plus fortement animé par le sentiment d’espérance qui vivait en lui, couronna son sacrifice avec beaucoup de courage et de joie. Il alla recevoir de Dieu, dans le ciel, des biens et des honneurs impérissables, en récompense de sa constante fidélité à croire et à espérer en Celui qui est toujours fidèle à Sa parole.
Saint Symphorien avait pour père Fauste, l’un des hommes les plus distingués de la ville d’Autun, et qui avait encore le malheur d’être attaché au culte des idoles. À l’insu de son époux, la mère, qui était une fervente chrétienne, avait élevé son fils dans les principes de la vraie religion. C’était à l’époque des persécutions, vers la fin du IIe siècle. Dans ces temps de sanglante mémoire, se déclarer hautement pour la religion de Jésus-Christ, parler avec mépris des cérémonies païennes, c’était courir au martyre. Symphorien, jeune homme à l’âme noble et sincère, ne pouvant un jour se dispenser de voir passer un cortège nombreux qui accompagnait la statue de Cybèle, portée sur un chariot pompeusement paré, fut pressé d’adorer la statue comme les autres; mais ce fut inutilement. Ayant donc été arrêté comme un séditieux et un impie, le juge le fit battre de verges et l’envoya en prison. Après plusieurs interrogatoires, toujours suivis de tourments inouïs, son arrêt de mort fut définitivement prononcé. Comme on le menait au lieu du supplice, hors de la ville, sa mère, craignant qu’il n’achevât pas son glorieux sacrifice, lui criait du haut des remparts: «Mon fils, souvenez-vous du Dieu vivant; armez-vous de constance et de force; élevez votre cœur en haut, et regardez Celui qui règne dans le ciel. On ne vous ôte point la vie; on ne fait que vous la changer en une meilleure; on vous conduit à un bonheur éternel. Le chemin est étroit et difficile, mais il est court.» Le saint martyr, animé par ce discours plein de feu, mais bien plus fortement animé par le sentiment d’espérance qui vivait en lui, couronna son sacrifice avec beaucoup de courage et de joie. Il alla recevoir de Dieu, dans le ciel, des biens et des honneurs impérissables, en récompense de sa constante fidélité à croire et à espérer en Celui qui est toujours fidèle à Sa parole.
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Signe de la Croix
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.
Prière préparatoire
Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.
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