Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Notre-Dame-Purgatoire

Le poids des Indulgences

Le bienheureux Berthold, prédicateur de l’Ordre de Saint-François, venait de faire un sermon très émouvant sur l’aumône, après lequel il avait accordé à ses auditeurs dix jours d’indulgences, selon le pouvoir qu’il en avait reçu du Souverain Pontife, lorsqu’une dame de condition, qui, ayant perdu sa fortune, se voyait obligée de solliciter la charité chrétienne, vint lui exposer secrètement sa misère. Le bon Père lui dit: «Vous avez gagné dix jours d’indulgence en assistant à ma prédication. Allez donc chez tel banquier, lequel n’a guère eu souci jusqu’à présent des trésors spirituels, et offrez-lui, en retour de son aumône, de lui céder votre mérite. J’ai tout lieu de croire qu’il vous donnera quelques secours.» La pauvre femme s’y rendit en toute simplicité. Dieu permit que cet homme l’accueillit avec bonté: il lui demanda ce qu’elle voulait en échange de ses dix jours d’indulgence. «Autant qu’ils pèsent, répondit- elle. – Eh bien, reprit le banquier, voici une balance: écrivez sur un papier vos dix jours et mettez cet écrit dans l’un des plateaux: je pose sur l’autre une pièce de monnaie.» Ô prodige! le premier plateau entraîne celui de l’argent. Étonné, le banquier ajoute une autre pièce, qui ne change rien à ce poids. Il en met cinq, dix, trente, enfin autant qu’il en fallait à la suppliante dans sa nécessité actuelle; alors seulement les deux plateaux s’équilibrèrent. Ce fut une leçon précieuse pour le banquier: il sentit enfin la valeur des intérêts célestes. Mais les pauvres âmes la comprennent bien mieux encore; pour la plus légère indulgence, elles donneraient tout l’or du monde.

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Le bienheureux Berthold, prédicateur de l’Ordre de Saint-François, venait de faire un sermon très émouvant sur l’aumône, après lequel il avait accordé à ses auditeurs dix jours d’indulgences, selon le pouvoir qu’il en avait reçu du Souverain Pontife, lorsqu’une dame de condition, qui, ayant perdu sa fortune, se voyait obligée de solliciter la charité chrétienne, vint lui exposer secrètement sa misère. Le bon Père lui dit: «Vous avez gagné dix jours d’indulgence en assistant à ma prédication. Allez donc chez tel banquier, lequel n’a guère eu souci jusqu’à présent des trésors spirituels, et offrez-lui, en retour de son aumône, de lui céder votre mérite. J’ai tout lieu de croire qu’il vous donnera quelques secours.» La pauvre femme s’y rendit en toute simplicité. Dieu permit que cet homme l’accueillit avec bonté: il lui demanda ce qu’elle voulait en échange de ses dix jours d’indulgence. «Autant qu’ils pèsent, répondit- elle. – Eh bien, reprit le banquier, voici une balance: écrivez sur un papier vos dix jours et mettez cet écrit dans l’un des plateaux: je pose sur l’autre une pièce de monnaie.» Ô prodige! le premier plateau entraîne celui de l’argent. Étonné, le banquier ajoute une autre pièce, qui ne change rien à ce poids. Il en met cinq, dix, trente, enfin autant qu’il en fallait à la suppliante dans sa nécessité actuelle; alors seulement les deux plateaux s’équilibrèrent. Ce fut une leçon précieuse pour le banquier: il sentit enfin la valeur des intérêts célestes. Mais les pauvres âmes la comprennent bien mieux encore; pour la plus légère indulgence, elles donneraient tout l’or du monde.

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Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.