L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.
Non seulement Notre-Seigneur fit connaître à Sa fidèle épouse les grâces qu’Il accorderait à ceux qui vénéreraient l’image de Son Cœur sacré, mais encore Il daigna lui montrer comment on devait la représenter. Voici en quels termes la servante de Dieu en rendit compte à son directeur.
«Le jour de saint Jean l’Évangéliste, après avoir reçu mon divin Sauveur, Il me fit une grâce qui me sembla être de la nature de celle que reçut ce bien-aimé disciple le soir de la Cène. Le Cœur de Jésus me fut représenté comme dans un trône formé de feu et de flammes, rayonnant de tous côtés, plus brillant que le soleil, et transparent comme un cristal. La plaie qu’Il reçut sur la croix y paraissait visiblement. Il y avait une couronne d’épines autour de ce Cœur sacré et une croix au-dessus qui y paraissait plantée. Mon divin Maître me fit entendre que ces instruments de Sa passion signifiaient que l’amour immense de Son Cœur pour les hommes avait été la source de toutes Ses souffrances: que dès le premier instant de Son Incarnation, tous ces tourments Lui avaient été présents, et que dès ce premier moment la croix fut, pour ainsi dire, plantée dans Son Cœur; qu’Il accepta dès lors toutes les douleurs et les humiliations que Sa sainte humanité devait souffrir pendant le cours de Sa vie mortelle, comme aussi tous les outrages auxquels Son amour pour les hommes L’exposait jusqu’à la fin des siècles, en demeurant avec eux dans le saint Sacrement.
«Il me fit ensuite connaître, que le grand désir qu’Il avait d’être aimé parfaitement des hommes, Lui avait fait prendre le dessein de leur manifester Son Cœur, et de leur donner dans ces derniers temps ce dernier effort de Son amour en leur proposant un objet et un moyen si propres pour les engager à L’aimer, et à L’aimer solidement. Qu’en cela Il leur ouvrait tous les trésors d’amour, de grâces, de miséricorde, de sanctification et de salut que ce Cœur contient, afin que tous ceux qui voudraient Lui rendre et Lui procurer tout l’amour et l’honneur qui leur serait possible, fussent enrichis avec profusion des trésors dont ce Cœur divin est la source, source féconde et inépuisable.
«Il m’a encore assuré, qu’Il prenait une singulière complaisance à voir les sentiments intérieurs de Son Cœur et de Son amour honorés sous la figure de ce cœur de chair, tel qu’il m’avait été montré, dont Il voulait que l’image fût exposée en public; afin, ajouta-t-Il, de toucher le cœur insensible des hommes. Il me promit en même temps qu’Il répandrait avec abondance sur le cœur de ceux qui L’honoreraient, les trésors de grâces dont Son Cœur est rempli, et que partout où cette image serait exposée pour y être particulièrement honorée, elle y attirerait toutes sortes de bénédictions.
«Mais voici ce qui me causa en même temps une espèce de supplice qui me fut plus sensible que toutes les peines que j’ai ressenties: ce fut que, lorsque ce Cœur me fut présenté, Il me fit encore entendre ces paroles: J’ai une soif ardente d’être honoré et aimé des hommes dans le saint Sacrement; et cependant Je ne trouve presque personne qui s’efforce, selon Mon désir, de Me désaltérer, en usant avec Moi de quelque retour.»
Non seulement Notre-Seigneur fit connaître à Sa fidèle épouse les grâces qu’Il accorderait à ceux qui vénéreraient l’image de Son Cœur sacré, mais encore Il daigna lui montrer comment on devait la représenter. Voici en quels termes la servante de Dieu en rendit compte à son directeur.
«Le jour de saint Jean l’Évangéliste, après avoir reçu mon divin Sauveur, Il me fit une grâce qui me sembla être de la nature de celle que reçut ce bien-aimé disciple le soir de la Cène. Le Cœur de Jésus me fut représenté comme dans un trône formé de feu et de flammes, rayonnant de tous côtés, plus brillant que le soleil, et transparent comme un cristal. La plaie qu’Il reçut sur la croix y paraissait visiblement. Il y avait une couronne d’épines autour de ce Cœur sacré et une croix au-dessus qui y paraissait plantée. Mon divin Maître me fit entendre que ces instruments de Sa passion signifiaient que l’amour immense de Son Cœur pour les hommes avait été la source de toutes Ses souffrances: que dès le premier instant de Son Incarnation, tous ces tourments Lui avaient été présents, et que dès ce premier moment la croix fut, pour ainsi dire, plantée dans Son Cœur; qu’Il accepta dès lors toutes les douleurs et les humiliations que Sa sainte humanité devait souffrir pendant le cours de Sa vie mortelle, comme aussi tous les outrages auxquels Son amour pour les hommes L’exposait jusqu’à la fin des siècles, en demeurant avec eux dans le saint Sacrement.
«Il me fit ensuite connaître, que le grand désir qu’Il avait d’être aimé parfaitement des hommes, Lui avait fait prendre le dessein de leur manifester Son Cœur, et de leur donner dans ces derniers temps ce dernier effort de Son amour en leur proposant un objet et un moyen si propres pour les engager à L’aimer, et à L’aimer solidement. Qu’en cela Il leur ouvrait tous les trésors d’amour, de grâces, de miséricorde, de sanctification et de salut que ce Cœur contient, afin que tous ceux qui voudraient Lui rendre et Lui procurer tout l’amour et l’honneur qui leur serait possible, fussent enrichis avec profusion des trésors dont ce Cœur divin est la source, source féconde et inépuisable.
«Il m’a encore assuré, qu’Il prenait une singulière complaisance à voir les sentiments intérieurs de Son Cœur et de Son amour honorés sous la figure de ce cœur de chair, tel qu’il m’avait été montré, dont Il voulait que l’image fût exposée en public; afin, ajouta-t-Il, de toucher le cœur insensible des hommes. Il me promit en même temps qu’Il répandrait avec abondance sur le cœur de ceux qui L’honoreraient, les trésors de grâces dont Son Cœur est rempli, et que partout où cette image serait exposée pour y être particulièrement honorée, elle y attirerait toutes sortes de bénédictions.
«Mais voici ce qui me causa en même temps une espèce de supplice qui me fut plus sensible que toutes les peines que j’ai ressenties: ce fut que, lorsque ce Cœur me fut présenté, Il me fit encore entendre ces paroles: J’ai une soif ardente d’être honoré et aimé des hommes dans le saint Sacrement; et cependant Je ne trouve presque personne qui s’efforce, selon Mon désir, de Me désaltérer, en usant avec Moi de quelque retour.»
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Signe de la Croix
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.
Prière préparatoire
Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.
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