Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Ste-Famille

Dépouillé du vêtement par l’ennemi.

Dans les premiers temps de l’Église, un roi païen fit venir un évêque et lui ordonna de sacrifier aux idoles. L’évêque s’y refusa et le tyran le menaça de la mort. «Supposons, dit l’évêque avec intrépidité, que l’un de vos serviteurs soit pris par l’ennemi et que, instigué à la trahison, il vous reste fidèle; qu’alors l’ennemi furieux le dépouille de ses vêtements et vous le renvoie tout nu. Que feriez-vous? Ne le revêtiriez-vous pas d’habits tout, neufs? Il en est de même de moi. Vous me menacez, moi le serviteur du vrai Dieu, si je ne Le renie pas, de me dépouiller du vêtement de mon âme, c’est à-dire, de tuer mon corps. Mais Dieu me rendra ce vêtement que je perdrai par amour pour Lui.»

Dieu rendra leur vie aux martyrs. Jésus-Christ a promis que celui qui aura perdu sa vie pour l’amour de Lui, la retrouvera. (S. Matth. 10, 39.)

Opinion d’un enfant sur le martyre.

Baronius rapporte dans ses Annales le fait suivant. En 523, une mère et son unique enfant furent arrêtés par le tyran Dunaan pour cause de religion. La mère fut condamnée au feu, tandis que l’enfant fut épargné. «Je veux, s’écriait-il, accompagner ma mère! Moi aussi, je veux devenir martyr! – Tu veux, répondit le tyran, être martyrisé? Sais-tu bien ce que c’est? – Oh oui, dit l’enfant; être martyrisé, c’est donner sa vie au Christ par amour, et la recevoir de nouveau immédiatement après.»

Perdre sa vie pour Dieu, c’est entrer au ciel immédiatement; aussi l’Église ne prie-t-elle jamais pour les martyrs.

Autres histoires...

Ste-Famille

Dépouillé du vêtement par l’ennemi.

Dans les premiers temps de l’Église, un roi païen fit venir un évêque et lui ordonna de sacrifier aux idoles. L’évêque s’y refusa et le tyran le menaça de la mort. «Supposons, dit l’évêque avec intrépidité, que l’un de vos serviteurs soit pris par l’ennemi et que, instigué à la trahison, il vous reste fidèle; qu’alors l’ennemi furieux le dépouille de ses vêtements et vous le renvoie tout nu. Que feriez-vous? Ne le revêtiriez-vous pas d’habits tout, neufs? Il en est de même de moi. Vous me menacez, moi le serviteur du vrai Dieu, si je ne Le renie pas, de me dépouiller du vêtement de mon âme, c’est à-dire, de tuer mon corps. Mais Dieu me rendra ce vêtement que je perdrai par amour pour Lui.»

Dieu rendra leur vie aux martyrs. Jésus-Christ a promis que celui qui aura perdu sa vie pour l’amour de Lui, la retrouvera. (S. Matth. 10, 39.)

Opinion d’un enfant sur le martyre.

Baronius rapporte dans ses Annales le fait suivant. En 523, une mère et son unique enfant furent arrêtés par le tyran Dunaan pour cause de religion. La mère fut condamnée au feu, tandis que l’enfant fut épargné. «Je veux, s’écriait-il, accompagner ma mère! Moi aussi, je veux devenir martyr! – Tu veux, répondit le tyran, être martyrisé? Sais-tu bien ce que c’est? – Oh oui, dit l’enfant; être martyrisé, c’est donner sa vie au Christ par amour, et la recevoir de nouveau immédiatement après.»

Perdre sa vie pour Dieu, c’est entrer au ciel immédiatement; aussi l’Église ne prie-t-elle jamais pour les martyrs.

Autres histoires...

Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.