Si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez,
écrivez-nous:
apotres@magnificat.ca
Magnificat!
Pour la préservation du Dépôt de la Foi.
Pour que le Règne de Dieu arrive!
Exclusive Representation of the Nativity Scene.
De Besançon, France, un jeune homme écrivait cette lettre, le 10 mars 1875:
Gloire à Jésus, honneur à Marie et éternelle reconnaissance au très glorieux, très puissant, très bon saint Joseph! Tels sont, mon Père, les premiers sentiments de reconnaissance qui partent d’un cœur débordant de joie et d’amour.
Il y a plusieurs années que, grâce à la protection toute spéciale de saint Joseph, j’ai reçu des grades universitaires; j’avais fait à ce saint Patriarche toute espèce de promesses, une surtout que j’avais bien résolu de pratiquer tout le reste de la vie. Une fois en possession de mes grades, je fus fidèle pendant quelque temps; mais peu à peu j’oubliai mes résolutions et même celui de qui je tenais le bienfait. Emporté par un esprit d’orgueil, de vanité et de suffisance de moi-même, je marchai vite dans les voies du monde, et plus je m’élevais dans l’estime des hommes, plus je m’éloignais de Dieu. Mais la miséricorde divine, pour me sauver m’a frappé comme Saul sur le chemin de Damas! J’ai été renversé à terre et réduit à la plus déplorable situation. Me voyant ainsi abandonné, le malheur m’a ouvert les yeux: j’ai reconnu mes fautes, j’ai jeté un regard vers Dieu, que j’avais tant offensé, et je Lui ai demandé pardon. Mais il fallait faire pénitence: je priai Marie, le refuge des pécheurs: je L’invoquai sous le nom de mère, et, quoique j’en fusse très indigne, je sentis des consolations. Enfin je me ressouvins de la protection que saint Joseph m’avait autrefois accordée; je me jetai dans ses bras comme l’enfant prodigue, et je me remis à pratiquer ma résolution, depuis si longtemps abandonnée. Puis je plaçai sous sa statue un billet où je lui demandai une grâce, la plus importante de ma vie après celle du salut éternel. Je n’ai pas été trompé dans mes espérances, j’ai tout obtenu, et c’est pour remercier autant qu’il est en moi ce grand Saint que je vous écris ces lignes.
Quand on a reçu des bienfaits du Père des lumières, par la médiation de Marie ou de Joseph, il faut se montrer reconnaissant; c’est là un des moyens les plus efficaces pour obtenir de nouvelles faveurs. L’ingratitude, au contraire, est comme un vent brûlant qui dessèche la source des grâces et livre le pauvre pécheur à sa faiblesse naturelle. Heureux si, rentrant en lui-même, il reconnaît ses torts envers son céleste bienfaiteur.
De Besançon, France, un jeune homme écrivait cette lettre, le 10 mars 1875:
Gloire à Jésus, honneur à Marie et éternelle reconnaissance au très glorieux, très puissant, très bon saint Joseph! Tels sont, mon Père, les premiers sentiments de reconnaissance qui partent d’un cœur débordant de joie et d’amour.
Il y a plusieurs années que, grâce à la protection toute spéciale de saint Joseph, j’ai reçu des grades universitaires; j’avais fait à ce saint Patriarche toute espèce de promesses, une surtout que j’avais bien résolu de pratiquer tout le reste de la vie. Une fois en possession de mes grades, je fus fidèle pendant quelque temps; mais peu à peu j’oubliai mes résolutions et même celui de qui je tenais le bienfait. Emporté par un esprit d’orgueil, de vanité et de suffisance de moi-même, je marchai vite dans les voies du monde, et plus je m’élevais dans l’estime des hommes, plus je m’éloignais de Dieu. Mais la miséricorde divine, pour me sauver m’a frappé comme Saul sur le chemin de Damas! J’ai été renversé à terre et réduit à la plus déplorable situation. Me voyant ainsi abandonné, le malheur m’a ouvert les yeux: j’ai reconnu mes fautes, j’ai jeté un regard vers Dieu, que j’avais tant offensé, et je Lui ai demandé pardon. Mais il fallait faire pénitence: je priai Marie, le refuge des pécheurs: je L’invoquai sous le nom de mère, et, quoique j’en fusse très indigne, je sentis des consolations. Enfin je me ressouvins de la protection que saint Joseph m’avait autrefois accordée; je me jetai dans ses bras comme l’enfant prodigue, et je me remis à pratiquer ma résolution, depuis si longtemps abandonnée. Puis je plaçai sous sa statue un billet où je lui demandai une grâce, la plus importante de ma vie après celle du salut éternel. Je n’ai pas été trompé dans mes espérances, j’ai tout obtenu, et c’est pour remercier autant qu’il est en moi ce grand Saint que je vous écris ces lignes.
Quand on a reçu des bienfaits du Père des lumières, par la médiation de Marie ou de Joseph, il faut se montrer reconnaissant; c’est là un des moyens les plus efficaces pour obtenir de nouvelles faveurs. L’ingratitude, au contraire, est comme un vent brûlant qui dessèche la source des grâces et livre le pauvre pécheur à sa faiblesse naturelle. Heureux si, rentrant en lui-même, il reconnaît ses torts envers son céleste bienfaiteur.
Pour demander des prières, offrir une suggestion, nous informer d’un malfonctionnement ou tout autre question, veuillez remplir ce formulaire. Merci.
Adresse:
290 7e rang
Mont-Tremblant QC J8E 1Y4
CP 4478
Mont-Tremblant QC J8E 1A1
Canada
(819) 688-5225
(819) 688-6548
WordPress multilingue avec WPML