Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Jésus frappe à la porte de notre coeur

Le propos de Luther.

La véritable Église doit avoir un saint fondateur. Donc, quand on peut prouver que le fondateur d’une religion n’était point un modèle de perfection, qu’il était plutôt tout le contraire, on est en droit de dire que pareille religion n’a pas la marque de la sainteté. Cette preuve est plus facile qu’on ne le croit pour Luther et son Église. Quiconque lit les écrits de Luther y trouve non seulement beaucoup de passages qui dénotent un amour-propre exalté et un caractère haineux, mais encore un homme soumis à de honteuses passions. Luther se sert constamment d’expressions grossières comme «gueule, monstre, brute, pourceau, cochon, âne, fumier, peste, cracher, dévorer, se soûler», pour ne pas répéter ceux dont l’honnête homme le moins cultivé rougirait. C’est surtout le pape qu’il cherche à salir de sa bave. Son orgueil et son amour-propre démesurés apparaissent dans des phrases telles que: «Je suis connu au ciel, sur la terre et dans les enfers. J’ai tant d’autorité…. Je suis un grand docteur qui vaut plus que le pape, les évêques et les moines.» Luther, en disant qu’il ne peut réciter le «Pater» sans jurements, voulait dire qu’en récitant le «Pater» il entrait tellement en colère contre le Pape et l’Église catholique qu’il se sentait obligé de les maudire. Lors de la révolte des paysans, Luther conseilla aux princes «de rosser les vilains, de les étrangler et de les massacrer, car un prince pourrait à présent bien mieux gagner le ciel en versant du sang qu’en priant.»

Un seul fait analogue dans la vie d’un Saint proposé pour la canonisation, suffirait pour empêcher la béatification. Et Luther serait un «homme de Dieu» et un réformateur!! Plusieurs écrivains, entre autres Dôllinger, sont d’avis que Luther avait bu, quand il écrivait. Il y a même des protestants qui blâment Luther de ses trivialités et disent que ses ouvrages semblent plutôt être l’œuvre d’un porcher que d’un pasteur d’âmes d’une pareille célébrité. (V. Dr Germanus: Reformationsbilder. Herder.) Aussi Wicel écrivait-il avec raison, en 1531, à un disciple de Luther nommé Balthasar Raid: «Telle colère, telle soif de vengeance, telle brutalité, telle manie de calomnier, telle imprudence, telle débauche…. ne se trouvent pas même dans les faux prophètes et dans les hérétiques. Tu le sais bien toi-même.» Et le savant Érasme écrit: «Le plus simple bon sens vous dit qu’un homme qui a produit une révolution pareille, qui prenne plaisir aux injures et aux calomnies, sans jamais pouvoir s’en rassasier, ne peut être un envoyé de Dieu. Cette arrogance, la plus grande qui fut jamais, ne peut être exempte de folie et cette frivolité effrénée n’est pas compatible avec l’esprit apostolique.»

Le caractère de Luther prouve que la marque de «sainteté» manque à l’Église protestante qu’il a fondée.

Autres histoires...

Jésus frappe à la porte de notre coeur

Le propos de Luther.

La véritable Église doit avoir un saint fondateur. Donc, quand on peut prouver que le fondateur d’une religion n’était point un modèle de perfection, qu’il était plutôt tout le contraire, on est en droit de dire que pareille religion n’a pas la marque de la sainteté. Cette preuve est plus facile qu’on ne le croit pour Luther et son Église. Quiconque lit les écrits de Luther y trouve non seulement beaucoup de passages qui dénotent un amour-propre exalté et un caractère haineux, mais encore un homme soumis à de honteuses passions. Luther se sert constamment d’expressions grossières comme «gueule, monstre, brute, pourceau, cochon, âne, fumier, peste, cracher, dévorer, se soûler», pour ne pas répéter ceux dont l’honnête homme le moins cultivé rougirait. C’est surtout le pape qu’il cherche à salir de sa bave. Son orgueil et son amour-propre démesurés apparaissent dans des phrases telles que: «Je suis connu au ciel, sur la terre et dans les enfers. J’ai tant d’autorité…. Je suis un grand docteur qui vaut plus que le pape, les évêques et les moines.» Luther, en disant qu’il ne peut réciter le «Pater» sans jurements, voulait dire qu’en récitant le «Pater» il entrait tellement en colère contre le Pape et l’Église catholique qu’il se sentait obligé de les maudire. Lors de la révolte des paysans, Luther conseilla aux princes «de rosser les vilains, de les étrangler et de les massacrer, car un prince pourrait à présent bien mieux gagner le ciel en versant du sang qu’en priant.»

Un seul fait analogue dans la vie d’un Saint proposé pour la canonisation, suffirait pour empêcher la béatification. Et Luther serait un «homme de Dieu» et un réformateur!! Plusieurs écrivains, entre autres Dôllinger, sont d’avis que Luther avait bu, quand il écrivait. Il y a même des protestants qui blâment Luther de ses trivialités et disent que ses ouvrages semblent plutôt être l’œuvre d’un porcher que d’un pasteur d’âmes d’une pareille célébrité. (V. Dr Germanus: Reformationsbilder. Herder.) Aussi Wicel écrivait-il avec raison, en 1531, à un disciple de Luther nommé Balthasar Raid: «Telle colère, telle soif de vengeance, telle brutalité, telle manie de calomnier, telle imprudence, telle débauche…. ne se trouvent pas même dans les faux prophètes et dans les hérétiques. Tu le sais bien toi-même.» Et le savant Érasme écrit: «Le plus simple bon sens vous dit qu’un homme qui a produit une révolution pareille, qui prenne plaisir aux injures et aux calomnies, sans jamais pouvoir s’en rassasier, ne peut être un envoyé de Dieu. Cette arrogance, la plus grande qui fut jamais, ne peut être exempte de folie et cette frivolité effrénée n’est pas compatible avec l’esprit apostolique.»

Le caractère de Luther prouve que la marque de «sainteté» manque à l’Église protestante qu’il a fondée.

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Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.