L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.
La reine Élisabeth, fille du roi Henri VIII d’Angleterre (1558-1603), fit arrêter Marie Stuart, sa parente, qui était catholique et reine d’Écosse, et après un procès qui n’était qu’une indigne comédie elle la fit condamner à mort. (On a calomnié Marie Stuart, disant qu’elle avait causé la mort de son mari et puis épousé son meurtrier. Schiller chante bien la gloire de la noble martyre, mais il la croit aussi adultère et meurtrière de son mari, ce qui est faux d’après les recherches récentes.) Lorsque Marie Stuart reçut l’arrêt de mort, elle resta tout à fait calme, ne demandant d’autre grâce que celle de voir pendant quelques instants son confesseur emprisonné comme elle. Mais ce qu’on ne refuse pas au plus grand criminel, Élisabeth le refusa à cette reine infortunée par haine de la religion. Elle lui envoya au contraire un prêtre apostat, qui s’était fait protestant, afin qu’il cherchât à lui faire renier sa foi et lui rendît pénibles ses derniers moments. Marie Stuart, pleine d’une sainte indignation, renvoya ce Judas et peu après elle fut décapitée.
L’un des plus grands soucis de pieux parents catholiques est de conserver la foi à leurs enfants. Un touchant exemple de ce soin maternel nous est donné par la grande-duchesse Marguerite-Sophie, femme du duc Albert de Wurtemberg. Elle allait devenir reine lorsque Dieu l’appela à Lui dans la fleur de l’âge à 32 ans (1906). Six enfants pleuraient au chevet de leur mère mourante; l’un d’entre eux était le prince Philippe-Albert, l’héritier présomptif du trône du Wurtemberg, dont la population est en majorité protestante. Après avoir embrassé une dernière fois ses chers enfants, la mère mourante s’adressa en suppliant à son premier-né et lui dit: «Chéri! reste catholique!» Puis elle s’endormit doucement en répétant: «Seigneur, j’ai espéré en Vous, je ne serai pas confondue pour l’éternité.»
Ceux qui gardent fidèlement la foi catholique pourront répéter ces paroles consolantes sur leur lit de mort. Hors de l’Église point de salut; c’est-à-dire: quiconque est en dehors de l’Église par sa faute ne peut être sauvé.
La reine Élisabeth, fille du roi Henri VIII d’Angleterre (1558-1603), fit arrêter Marie Stuart, sa parente, qui était catholique et reine d’Écosse, et après un procès qui n’était qu’une indigne comédie elle la fit condamner à mort. (On a calomnié Marie Stuart, disant qu’elle avait causé la mort de son mari et puis épousé son meurtrier. Schiller chante bien la gloire de la noble martyre, mais il la croit aussi adultère et meurtrière de son mari, ce qui est faux d’après les recherches récentes.) Lorsque Marie Stuart reçut l’arrêt de mort, elle resta tout à fait calme, ne demandant d’autre grâce que celle de voir pendant quelques instants son confesseur emprisonné comme elle. Mais ce qu’on ne refuse pas au plus grand criminel, Élisabeth le refusa à cette reine infortunée par haine de la religion. Elle lui envoya au contraire un prêtre apostat, qui s’était fait protestant, afin qu’il cherchât à lui faire renier sa foi et lui rendît pénibles ses derniers moments. Marie Stuart, pleine d’une sainte indignation, renvoya ce Judas et peu après elle fut décapitée.
L’un des plus grands soucis de pieux parents catholiques est de conserver la foi à leurs enfants. Un touchant exemple de ce soin maternel nous est donné par la grande-duchesse Marguerite-Sophie, femme du duc Albert de Wurtemberg. Elle allait devenir reine lorsque Dieu l’appela à Lui dans la fleur de l’âge à 32 ans (1906). Six enfants pleuraient au chevet de leur mère mourante; l’un d’entre eux était le prince Philippe-Albert, l’héritier présomptif du trône du Wurtemberg, dont la population est en majorité protestante. Après avoir embrassé une dernière fois ses chers enfants, la mère mourante s’adressa en suppliant à son premier-né et lui dit: «Chéri! reste catholique!» Puis elle s’endormit doucement en répétant: «Seigneur, j’ai espéré en Vous, je ne serai pas confondue pour l’éternité.»
Ceux qui gardent fidèlement la foi catholique pourront répéter ces paroles consolantes sur leur lit de mort. Hors de l’Église point de salut; c’est-à-dire: quiconque est en dehors de l’Église par sa faute ne peut être sauvé.
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Signe de la Croix
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.
Prière préparatoire
Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.
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