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Les quinze mystères du Rosaire
Les quinze mystères du Rosaire nous forment à la précieuse connaissance de Jésus-Christ, dans laquelle consiste la vie éternelle. Ils sont divisés en trois séries, de joies, de douleurs et de gloires, trois mots qui résument bien la vie de l’homme sur la terre, et son amour dans le ciel. À chacun des mystères correspond une des principales vertus chrétiennes.
Le Chapelet, qui tire son nom des couronnes de fleurs qu’on appelait au moyen âge chapels ou chapeaux, est composé de cinq dizaines, c’est-à-dire du tiers d’un Rosaire: c’est une belle couronne que les personnes pieuses aiment à déposer tous les jours sur le front de l’auguste Marie. On peut appeler cette pieuse pratique la reine des dévotions. Considérons d’abord l’importance du Rosaire comme dévotion de l’Église, comme imprimant à l’âme un caractère particulièrement catholique, en nous rappelant sans cesse le souvenir de Jésus et de Marie; enfin comme assurant en grande partie notre persévérance finale, si nous sommes fidèles à le réciter, ainsi que le prouvent plusieurs révélations.
Quant à la forme du Rosaire, c’est un abrégé complet de l’Évangile partagé en quinze dizaines qui représentent autant de mystères, et expriment les trois grandes phases de l’œuvre de la Rédemption: la joie, la douleur et la gloire. Le caractère particulier du Rosaire lui donne un nouvel attrait; il combine l’oraison mentale avec la prière vocale. C’est un abrégé de théologie rempli d’une douce dévotion, et une pratique efficace de la présence de Dieu. C’est un des principaux canaux à l’aide desquels les traditions de l’Incarnation se répandent parmi les fidèles. Le Rosaire montre la véritable nature de la dévotion à la Sainte Vierge, et est un puissant moyen de réaliser la communion des Saints.
(R. P. Huguet)
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Les quinze mystères du Rosaire
Les quinze mystères du Rosaire nous forment à la précieuse connaissance de Jésus-Christ, dans laquelle consiste la vie éternelle. Ils sont divisés en trois séries, de joies, de douleurs et de gloires, trois mots qui résument bien la vie de l’homme sur la terre, et son amour dans le ciel. À chacun des mystères correspond une des principales vertus chrétiennes.
Le Chapelet, qui tire son nom des couronnes de fleurs qu’on appelait au moyen âge chapels ou chapeaux, est composé de cinq dizaines, c’est-à-dire du tiers d’un Rosaire: c’est une belle couronne que les personnes pieuses aiment à déposer tous les jours sur le front de l’auguste Marie. On peut appeler cette pieuse pratique la reine des dévotions. Considérons d’abord l’importance du Rosaire comme dévotion de l’Église, comme imprimant à l’âme un caractère particulièrement catholique, en nous rappelant sans cesse le souvenir de Jésus et de Marie; enfin comme assurant en grande partie notre persévérance finale, si nous sommes fidèles à le réciter, ainsi que le prouvent plusieurs révélations.
Quant à la forme du Rosaire, c’est un abrégé complet de l’Évangile partagé en quinze dizaines qui représentent autant de mystères, et expriment les trois grandes phases de l’œuvre de la Rédemption: la joie, la douleur et la gloire. Le caractère particulier du Rosaire lui donne un nouvel attrait; il combine l’oraison mentale avec la prière vocale. C’est un abrégé de théologie rempli d’une douce dévotion, et une pratique efficace de la présence de Dieu. C’est un des principaux canaux à l’aide desquels les traditions de l’Incarnation se répandent parmi les fidèles. Le Rosaire montre la véritable nature de la dévotion à la Sainte Vierge, et est un puissant moyen de réaliser la communion des Saints.
(R. P. Huguet)
