Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

Filter by Categories
Liturgie
Prières
Evangile-Lectures
Réflexions
Histoire

Une histoire pour chaque jour...

Notre-Dame du Rosaire

Une robe du plus grand prix

Un jour, dit la bienheureuse Marie des Anges, comme je m’approchais de la sainte table, je me sentis tout à coup remplie d’une telle suavité, qu’il me semblait être au ciel en corps et en âme. La Sainte Vierge m’apparut en ce moment: Elle était si belle, si resplendissante, que je ne pouvais La regarder; j’étais éblouie de Son éclat. Elle tenait dans Ses mains une robe blanche, mais d’une blancheur bien différente de celle qu’on voit sur la terre. Cette robe était ornée d’une multitude de pierres précieuses, comme on n’en trouve pas non plus ici-bas. La divine Mère me dit qu’Elle la tenait toute prête pour m’en revêtir aussitôt que je me serais dépouillée de moi-même; et que le bien de mon âme exigeait que je fusse encore condamnée à lutter et à acheter la victoire au prix de grandes fatigues. Elle me recommanda de recourir souvent à Son intercession et de Lui adresser ces paroles: «À Vos pieds, ô ma très douce Souveraine! je veux vivre et mourir.» Elle me promit protection et secours, excita en moi un vif amour de la vertu, spécialement de l’humilité et de l’obéissance, et me laissa remplie de paix et de consolation.

Apprenons de là à chercher toujours notre sanctification, dans le culte que nous rendons à Notre-Dame du Rosaire. Ne nous contentons pas de La prier, de méditer Ses joies, Ses douleurs et Ses gloires, mais imitons surtout Ses vertus, Son abnégation, Son esprit de sacrifice qui nous fasse mourir à nous-mêmes et pratiquer l’humilité, l’obéissance, la mortification, la patience, la douceur et la charité. À ce prix, les pratiques de dévotion dont nous honorons notre Mère nous seront d’une très grande utilité. Elles nous aideront à nous vaincre, à devenir plus purs, plus détachés, plus amis de l’oraison et plus unis à Dieu. Et quels mérites n’acquerrons-nous pas ainsi? Nous recevrons spirituellement de Marie une robe précieuse, comme celle que vit préparée pour elle la Bienheureuse dont nous venons de parler.

Autres histoires...

Notre-Dame du Rosaire

Une robe du plus grand prix

Un jour, dit la bienheureuse Marie des Anges, comme je m’approchais de la sainte table, je me sentis tout à coup remplie d’une telle suavité, qu’il me semblait être au ciel en corps et en âme. La Sainte Vierge m’apparut en ce moment: Elle était si belle, si resplendissante, que je ne pouvais La regarder; j’étais éblouie de Son éclat. Elle tenait dans Ses mains une robe blanche, mais d’une blancheur bien différente de celle qu’on voit sur la terre. Cette robe était ornée d’une multitude de pierres précieuses, comme on n’en trouve pas non plus ici-bas. La divine Mère me dit qu’Elle la tenait toute prête pour m’en revêtir aussitôt que je me serais dépouillée de moi-même; et que le bien de mon âme exigeait que je fusse encore condamnée à lutter et à acheter la victoire au prix de grandes fatigues. Elle me recommanda de recourir souvent à Son intercession et de Lui adresser ces paroles: «À Vos pieds, ô ma très douce Souveraine! je veux vivre et mourir.» Elle me promit protection et secours, excita en moi un vif amour de la vertu, spécialement de l’humilité et de l’obéissance, et me laissa remplie de paix et de consolation.

Apprenons de là à chercher toujours notre sanctification, dans le culte que nous rendons à Notre-Dame du Rosaire. Ne nous contentons pas de La prier, de méditer Ses joies, Ses douleurs et Ses gloires, mais imitons surtout Ses vertus, Son abnégation, Son esprit de sacrifice qui nous fasse mourir à nous-mêmes et pratiquer l’humilité, l’obéissance, la mortification, la patience, la douceur et la charité. À ce prix, les pratiques de dévotion dont nous honorons notre Mère nous seront d’une très grande utilité. Elles nous aideront à nous vaincre, à devenir plus purs, plus détachés, plus amis de l’oraison et plus unis à Dieu. Et quels mérites n’acquerrons-nous pas ainsi? Nous recevrons spirituellement de Marie une robe précieuse, comme celle que vit préparée pour elle la Bienheureuse dont nous venons de parler.

Autres histoires...

Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.