Pour la préservation du Dépôt de la Foi.

Pour que le Règne de Dieu arrive!

MAGNIFICAT

L’Ordre du Magnificat de la Mère de Dieu a pour fin particulière la conservation du Dépôt de la Foi par l’enseignement religieux sous toutes ses formes. Dieu l’a établi comme «un rempart devant l’apostasie quasi générale» qui a envahi la chrétienté et en particulier l’Église romaine.

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Une histoire pour chaque jour...

Notre-Dame de La Salette

La meilleure des mères secourt une pauvre Maman.

Mais on attire nos regards vers une région bien distante du lieu où cette scène s’est produite, Le Liban est la terre des prodiges: on nous y montre une petite église que les habitants de la montagne ont dédiée à Marie sous le titre de Libératrice. Une femme y entre, apportant un enfant moribond: elle vient de consulter un religieux versé dans les sciences médicales, à qui elle demandait des remèdes. La réponse qu’elle en a reçue ne lui a que trop fait connaître l’état désespéré de son fils. Elle vient donc, tout éplorée, dans le sanctuaire; elle dépose son nourrisson sur la dalle froide et, n’écoutant que sa douleur, elle se plaint ainsi à Marie: «Notre-Dame Libératrice, n’est-ce pas à Ta protection que je dois cet unique enfant? pourquoi donc le laisser périr, alors que Tu peux le sauver? Ô Notre-Dame Libératrice, délivre-moi!» Cela dit, elle laisse là le petit mourant et, pour être plus libre de donner cours à ses larmes, elle va s’asseoir hors de la chapelle.

Cependant la Vierge clémente, Notre-Dame Libératrice, avait abaissé sur elle un de Ses regards de pitié; car bientôt après, lorsque la pauvre mère revient vers son fils, elle le voit tout trempé de sueur: elle le prend avec émotion dans ses bras, le porte à celui dont les réponses avaient désolé naguère sa tendresse, et en reçoit l’assurance que l’enfant est hors de danger.

Autres histoires...

Notre-Dame de La Salette

La meilleure des mères secourt une pauvre Maman.

Mais on attire nos regards vers une région bien distante du lieu où cette scène s’est produite, Le Liban est la terre des prodiges: on nous y montre une petite église que les habitants de la montagne ont dédiée à Marie sous le titre de Libératrice. Une femme y entre, apportant un enfant moribond: elle vient de consulter un religieux versé dans les sciences médicales, à qui elle demandait des remèdes. La réponse qu’elle en a reçue ne lui a que trop fait connaître l’état désespéré de son fils. Elle vient donc, tout éplorée, dans le sanctuaire; elle dépose son nourrisson sur la dalle froide et, n’écoutant que sa douleur, elle se plaint ainsi à Marie: «Notre-Dame Libératrice, n’est-ce pas à Ta protection que je dois cet unique enfant? pourquoi donc le laisser périr, alors que Tu peux le sauver? Ô Notre-Dame Libératrice, délivre-moi!» Cela dit, elle laisse là le petit mourant et, pour être plus libre de donner cours à ses larmes, elle va s’asseoir hors de la chapelle.

Cependant la Vierge clémente, Notre-Dame Libératrice, avait abaissé sur elle un de Ses regards de pitié; car bientôt après, lorsque la pauvre mère revient vers son fils, elle le voit tout trempé de sueur: elle le prend avec émotion dans ses bras, le porte à celui dont les réponses avaient désolé naguère sa tendresse, et en reçoit l’assurance que l’enfant est hors de danger.

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Signe de la Croix

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, et de la Mère de Dieu. Ainsi soit-il.

Prière préparatoire

Ô Jésus! Nous allons parcourir avec Vous le chemin du Calvaire qui Vous fut si douloureux. Faites-nous comprendre la grandeur de Vos souffrances, touchez nos coeurs d’une tendre compassion à la vue de Vos tourments, afin d’augmenter en nous le regret de nos fautes et l’amour que nous voulons avoir pour Vous.
Daignez nous appliquer à tous, les mérites infinis de Votre Passion, et en mémoire de Vos douleurs, faites miséricorde aux âmes du purgatoire, surtout à celles qui sont les plus abandonnées.
Ô divine Marie! qui la première, nous avez enseigné à faire le Chemin de la Croix, obtenez-nous la grâce de suivre Jésus avec les sentiments dont Votre Coeur fut rempli en L’accompagnant sur la route du Calvaire. Faites que nous pleurions avec Vous, et que nous aimions comme Vous Votre divin Fils. Nous Vous le demandons au nom de Son Coeur adorable. Ainsi soit-il.