de la foi et de la vérité pour la conservation

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Prions! – Pour être des âmes remplies de Dieu Le renoncement à tout Être attentif à Dieu Être des amants de la Croix La fidélité au Saint-Esprit – Pour que tout soit renouvelé La Prière – Pour être de vrais serviteurs de Dieu La fidélité dans les petites choses – Que les desseins de Dieu se réalisent La foi dans l’action de la Providence Prière et Pénitence L’adoration de Jésus Hostie – Pour vivre dans l’intimité de Dieu La lecture de l’Évangile – Pour que le règne de Dieu arrive La Prière – Pour hâter l’heure du salut de l’Église et du monde Invitation à la lutte – Puisse Dieu trouver des âmes généreuses Être vrai – Avec grâce et vérité La patience – Gracieusement! Se faire violence – Pour atteindre la sainteté Le sommet de l’adoration Nul ne peut servir deux maîtres Le mal de Dieu Ce qui plaît le plus à Dieu Vieillir est une grâce Le Secret du bonheur – Les Béatitudes La véritable essence de la Sainte Église de Jésus-Christ AVENT Préparez les voies du Seigneur AVENT Pour préparer la venue de Jésus AVENT Réveillez Votre puissance, Seigneur, et venez! NOËL Devant la Crèche NOËL Il est venu chez les Siens et les Siens ne L’ont pas reçu PÂQUES Jésus, Lumière du monde Le Purgatoire, instrument de la Miséricorde divine Une page d’Évangile – Jésus perdu et retrouvé au Temple La Visitation et le Magnificat L’Assomption de la Vierge Marie Le secret du Rosaire Marie, Mère de Dieu et notre Mère Glorieux Saint Joseph, notre modèle Saint Michel Archange, champion d’humilité

Une page d’Évangile

Jésus perdu et retrouvé au Temple

par Père Mathurin de la Mère de Dieu L’Enfant-Jésus croissait et Se fortifiait. Il était plein de sagesse et la grâce de Dieu était en Lui. Son Père et Sa Mère allaient tous les ans à Jérusalem, pour les solennités de la Pâque. Toute la famille s’y rendit, selon la coutume de cette fête, lorsque Jésus eut atteint Sa douzième année. Les jours saints étant passés, ils prirent le chemin du retour. Or l’Enfant Jésus était resté à Jérusalem, sans que Ses parents s’en fussent aperçus. Supposant qu’Il était dans l’une ou l’autre compa- gnie, ils firent une journée de voyage. Alors ils Le cherchèrent anxieusement parmi ceux de leur parenté et parmi leurs connais- sances. Ne L’ayant point trouvé, ils retournèrent à Jérusalem, Le cherchant toujours. Après trois jours, ils Le découvrirent dans le Temple. Il était assis au milieu des Docteurs, les écoutant et les interrogeant. Tous ceux qui L’entendaient étaient stupéfaits de Sa sagesse et de Ses réponses. En Le voyant ainsi, Ses parents furent eux-mêmes très surpris. «Mon Fils, Lui dit Sa Mère, pourquoi donc avez-Vous agi de la sorte à notre égard? Voilà que Votre Père et Moi, nous Vous cherchions dans la plus douloureuse angoisse. – Pourquoi Me cherchiez-vous? répondit-Il. Ne saviez-vous pas qu’il faut que Je sois aux affaires de Mon Père?» Mais ils ne comprirent pas cette parole qu’Il leur disait. Des- cendant avec eux, Il retourna à Nazareth; et Il leur était soumis. Pour Sa Mère, Elle conservait toutes ces choses dans Son cœur. Évangile de saint Luc 2, 40-52 L’Évangile dit explicitement de Marie et de Joseph qu’ils ne comprirent pas. Nous voyons ici la Vierge Marie, la Mère de Dieu qui ne comprenait pas. On s’imagine facilement que plus un personnage est considérable, que plus il vit dans l’intimité de Dieu, plus aussi il connaît Ses desseins. D’une part, oui! La Vierge Marie était, plus que tout autre, informée du plan de la Rédemption. Elle connaissait la Pensée de Dieu. Pourtant... Elle n’a pas compris!... Imaginons un peu le désarroi de Marie et de Joseph. Le Ciel leur a confié cet Enfant, qui est le Fils de Dieu même, et ils L’ont perdu! Quand ils Le retrouvent enfin, la divine Mère S’écrie: «Mon Enfant, Ton Père et Moi, nous Te cherchions dans la plus cruelle angoisse. Pourquoi as-Tu fait cela?... – Pourquoi Me cherchiez-vous? répond l’Enfant. Ne saviez-vous pas que Je dois être aux choses de Mon Père?» Et l’Évangile prend la peine de spécifier: Mais ils ne comprirent pas cette parole qu’Il leur disait. Ils retournèrent ensemble à Nazareth et Il leur était soumis. Pour Sa Mère, Elle conservait toutes ces choses dans Son cœur. La Vierge Marie a traversé beaucoup de ces moments douloureux. L’Évangile relate celui-ci comme exemple. Toute Sa vie, Elle a dû pratiquer la foi, de façon suréminente. La foi est ce qui donne la valeur surnaturelle à toutes les vertus; elle les surpasse toutes. Marcher dans la lumière, quand tout est clair, tout le monde peut le faire. Mais se fier à Dieu dans les moments de lassitude, de souffrances, dans les épreuves les plus crucifiantes, les circonstances déstabilisantes, garder une foi absolue dans les promesses de Dieu quand on ne comprend plus rien... L’acte de foi dans l’épreuve est la plus grande preuve d’amour que Dieu attend de nous. Il veut que Son enfant croie en Lui, qu’il se fie à Lui inconditionnellement.

Dieu est glorifié par la foi de Sa créature

La Vierge Marie, la plus élevée des créatures, Immaculée dans Sa Conception, comblée de grâces dès avant Sa naissance, devait glorifier Dieu par une fidélité consommée. La foi et la fidélité sont une même chose. Qui pourra jamais mesurer la fidélité de Marie? La pratique de la foi est parfois très douloureuse. La foi est un don de Dieu; mais aussi, de la part de l’âme, un acte volontaire coûteux, qui déchire tout l’être. La Vierge Marie ne comprenait pas, mais Se soumettait sans raisonner. Plus le bon Dieu comble une âme de Ses lumières, plus Il en attend un grand esprit de foi. Voyez le saint homme Abraham. Il était, en son temps, celui à qui Dieu Se communiquait davantage; et c’est à lui que Dieu a demandé la plus grande épreuve de foi. Abraham se fiait pleinement à Dieu. Sa réponse était toujours: «Oui, mon Dieu!» Cependant, la foi d’Abraham, bien qu’immense, n’est rien auprès de celle de la sainte Mère de Dieu. Si tout était clair, la foi ne serait pas exercée. La foi consiste justement à se fier sans com- prendre. Mise à l’épreuve, la raison humaine doit rester en suspens. L’âme ne comprend pas la conduite de Dieu à son égard, mais elle se prosterne devant Sa volonté qui lui est manifes- tée et elle obéit aveuglément. Voilà la foi. Tous les Saints ont dû vivre de foi, à la suite de la Vierge Marie qui a vécu de foi avec une perfection inégalée. Quelle immense gloire Dieu reçoit ainsi de Sa créature! Si la Sainte Vierge n’avait pas été soumise à l’épreuve, quelle gloire aurait-Elle donnée à Dieu? Pendant toute l’éternité, nous verrons que la Sainte Vierge, créée supérieure à tous les autres êtres, a aussi été éprouvée supérieurement. Elle a pratiqué la foi d’une façon héroïque, suréminente. À Elle seule, Elle a fait plus d’actes de foi que tous les Saints du Ciel réunis. J’ai parfois entendu le commentaire: «Le bon Dieu a raté Son coup quand Il a créé les humains. Regardez ce qu’il se passe sur la terre...» Non! Dieu n’a pas échoué. Si la terre n’avait seulement produit que la Vierge Marie, et s’il n’y avait eu aucun Saint à part d’Elle, Elle justifierait à Elle seule toute la création, tellement Elle glorifie Dieu d’une manière inconcevable. Rete- nons bien ceci : c’est Son humilité qui a produit Sa foi. L’orgueilleux n’a pas la foi. Sûr de lui-même, il se fie à sa raison, à son intelligence; il s’appuie sur son jugement propre. Il croit tout savoir, donc il ne fait pas d’actes de foi. Comme la Sainte Vierge a été le plus grand monument d’humilité, de même Elle a été le plus grand monument de foi. Je pense souvent à cette page d’Évangile. La Vierge n’a pas compris... Elle vivait avec le Fils de Dieu incarné et à ce moment d’épreuve, l’Évangile insiste qu’Elle ne comprenait pas. Et nous, pauvres êtres insignifiants, nous voudrions tout comprendre! À l’exemple de la Sainte Mère de Dieu, la vie de tout chrétien doit être une vie de foi. Aujourd’hui plus que jamais, l’orgueil qui règne sur le monde a détruit la foi. Dieu est bafoué par Ses enfants. Donnons à Dieu ce témoignage d’amour qu’Il attend de nous. Quoi qu’il arrive, restons toujours en paix, au plus profond de l’âme, sachant que nous sommes dans les mains de Dieu, et par-dessus tout, restons confiants en Sa bonté de Père...... Rien n’est plus agréable à Dieu que la foi et la confiance inébranlables au milieu des ténèbres. Exercez-vous beaucoup aux actes de confiance même quand vous ne sentez rien. C’est juste dans ces moments de sécheresse et de ténèbres que ces actes sont les plus méritoires, les plus agréables à Dieu et les plus utiles à votre âme. Les âmes ordinaires qui ne se sont pas don- nées sans réserve à Dieu, ne trouvent aucune difficulté à faire des actes d’amour et de confiance en Dieu pendant le temps de consolation et de succès, mais c’est le propre des âmes que Dieu appelle à une union, à une familiarité plus intimes avec Lui, de s’obstiner à espérer en Lui malgré toutes les apparences qui tendraient à les faire douter des promesses divines. Ces âmes disent avec le saint homme Job: «Même s’Il me tue, j’espérerai en Lui.» (Job 13, 15) Ces âmes disent à Dieu: «Mon Dieu, Vous êtes mon Père. Votre Fils Jésus nous a dit que Vous êtes notre Père, que Vous nous aimez, et que Vous ne nous refusez jamais ce que nous Vous demandons en Son nom. Mon Dieu, je crois tout ceci, et bien que le monde, le diable, tout l’enfer me disent le contraire, je crois Votre parole simplement parce que Vous l’avez dit.» Dom Columba Marmion, Lettres de direction

Articles par Père Mathurin

de la Mère de Dieu

pour la conservation
de la foi et de la vérité

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Une page d’Évangile

Jésus perdu et retrouvé

au Temple

par Père Mathurin de la Mère de Dieu L’Enfant-Jésus croissait et Se fortifiait. Il était plein de sagesse et la grâce de Dieu était en Lui. Son Père et Sa Mère allaient tous les ans à Jérusalem, pour les solennités de la Pâque. Toute la famille s’y rendit, selon la coutume de cette fête, lorsque Jésus eut atteint Sa douzième année. Les jours saints étant passés, ils prirent le chemin du retour. Or l’Enfant Jésus était resté à Jérusalem, sans que Ses parents s’en fussent aperçus. Supposant qu’Il était dans l’une ou l’autre compagnie, ils firent une journée de voyage. Alors ils Le cherchèrent anxieusement parmi ceux de leur parenté et parmi leurs connaissances. Ne L’ayant point trouvé, ils retournèrent à Jérusalem, Le cherchant toujours. Après trois jours, ils Le découvrirent dans le Temple. Il était assis au milieu des Docteurs, les écoutant et les interro- geant. Tous ceux qui L’entendaient étaient stupéfaits de Sa sagesse et de Ses réponses. En Le voyant ainsi, Ses parents furent eux-mêmes très surpris. «Mon Fils, Lui dit Sa Mère, pourquoi donc avez-Vous agi de la sorte à notre égard? Voilà que Votre Père et Moi, nous Vous cherchions dans la plus dou- loureuse angoisse. – Pourquoi Me cherchiez-vous? répondit-Il. Ne saviez-vous pas qu’il faut que Je sois aux affaires de Mon Père?» Mais ils ne comprirent pas cette parole qu’Il leur disait. Descendant avec eux, Il retourna à Nazareth; et Il leur était soumis. Pour Sa Mère, Elle conservait toutes ces choses dans Son cœur. Évangile de saint Luc 2, 40-52 L’Évangile dit explicitement de Marie et de Joseph qu’ils ne comprirent pas. Nous voyons ici la Vierge Marie, la Mère de Dieu qui ne comprenait pas. On s’imagine facilement que plus un personnage est considérable, que plus il vit dans l’intimité de Dieu, plus aussi il connaît Ses desseins. D’une part, oui! La Vierge Marie était, plus que tout autre, informée du plan de la Rédemption. Elle connaissait la Pensée de Dieu. Pourtant... Elle n’a pas compris!... Imaginons un peu le désarroi de Marie et de Joseph. Le Ciel leur a confié cet Enfant, qui est le Fils de Dieu même, et ils L’ont perdu! Quand ils Le retrouvent enfin, la divine Mère S’écrie: «Mon Enfant, Ton Père et Moi, nous Te cherchions dans la plus cruelle angoisse. Pourquoi as-Tu fait cela?... – Pourquoi Me cherchiez-vous? répond l’Enfant. Ne saviez-vous pas que Je dois être aux choses de Mon Père?» Et l’Évangile prend la peine de spécifier: Mais ils ne comprirent pas cette parole qu’Il leur disait. Ils retournèrent ensemble à Nazareth et Il leur était soumis. Pour Sa Mère, Elle conservait toutes ces choses dans Son cœur. La Vierge Marie a traversé beaucoup de ces moments dou- loureux. L’Évangile relate celui-ci comme exemple. Toute Sa vie, Elle a dû pratiquer la foi, de façon suréminente. La foi est ce qui donne la valeur surnaturelle à toutes les vertus; elle les surpasse toutes. Marcher dans la lumière, quand tout est clair, tout le monde peut le faire. Mais se fier à Dieu dans les moments de lassitude, de souffrances, dans les épreuves les plus crucifiantes, les circonstances déstabilisantes, garder une foi absolue dans les promesses de Dieu quand on ne comprend plus rien... L’acte de foi dans l’épreuve est la plus grande preuve d’amour que Dieu attend de nous. Il veut que Son enfant croie en Lui, qu’il se fie à Lui inconditionnellement.

Dieu est glorifié par la foi de Sa créature

La Vierge Marie, la plus élevée des créatures, Immaculée dans Sa Conception, comblée de grâces dès avant Sa naissance, devait glorifier Dieu par une fidélité consommée. La foi et la fidélité sont une même chose. Qui pourra jamais mesurer la fidélité de Marie? La pratique de la foi est parfois très doulou- reuse. La foi est un don de Dieu; mais aussi, de la part de l’âme, un acte volontaire coûteux, qui déchire tout l’être. La Vierge Marie ne comprenait pas, mais Se soumettait sans raisonner. Plus le bon Dieu comble une âme de Ses lumières, plus Il en attend un grand esprit de foi. Voyez le saint homme Abraham. Il était, en son temps, celui à qui Dieu Se communiquait davantage; et c’est à lui que Dieu a demandé la plus grande épreuve de foi. Abraham se fiait pleinement à Dieu. Sa réponse était toujours: «Oui, mon Dieu!» Cependant, la foi d’Abraham, bien qu’immense, n’est rien auprès de celle de la sainte Mère de Dieu. Si tout était clair, la foi ne serait pas exercée. La foi consiste justement à se fier sans comprendre. Mise à l’épreuve, la raison humaine doit rester en suspens. L’âme ne comprend pas la conduite de Dieu à son égard, mais elle se prosterne devant Sa volonté qui lui est manifestée et elle obéit aveuglément. Voilà la foi. Tous les Saints ont dû vivre de foi, à la suite de la Vierge Marie qui a vécu de foi avec une perfection inégalée. Quelle immense gloire Dieu reçoit ainsi de Sa créature! Si la Sainte Vierge n’avait pas été soumise à l’épreuve, quelle gloire aurait-Elle donnée à Dieu? Pendant toute l’éternité, nous verrons que la Sainte Vierge, créée supérieure à tous les autres êtres, a aussi été éprouvée supérieurement. Elle a pratiqué la foi d’une façon héroïque, suréminente. À Elle seule, Elle a fait plus d’actes de foi que tous les Saints du Ciel réunis. J’ai parfois entendu le commentaire: «Le bon Dieu a raté Son coup quand Il a créé les humains. Regardez ce qu’il se passe sur la terre...» Non! Dieu n’a pas échoué. Si la terre n’avait seulement produit que la Vierge Marie, et s’il n’y avait eu aucun Saint à part d’Elle, Elle justifierait à Elle seule toute la création, tellement Elle glorifie Dieu d’une manière inconce- vable. Retenons bien ceci : c’est Son humilité qui a produit Sa foi. L’orgueilleux n’a pas la foi. Sûr de lui-même, il se fie à sa raison, à son intelligence; il s’appuie sur son jugement propre. Il croit tout savoir, donc il ne fait pas d’actes de foi. Comme la Sainte Vierge a été le plus grand monument d’humilité, de même Elle a été le plus grand monument de foi. Je pense souvent à cette page d’Évangile. La Vierge n’a pas compris... Elle vivait avec le Fils de Dieu incarné et à ce moment d’épreuve, l’Évangile insiste qu’Elle ne comprenait pas. Et nous, pauvres êtres insignifiants, nous voudrions tout com- prendre! À l’exemple de la Sainte Mère de Dieu, la vie de tout chré- tien doit être une vie de foi. Aujourd’hui plus que jamais, l’orgueil qui règne sur le monde a détruit la foi. Dieu est bafoué par Ses enfants. Donnons à Dieu ce témoignage d’amour qu’Il attend de nous. Quoi qu’il arrive, restons toujours en paix, au plus profond de l’âme, sachant que nous sommes dans les mains de Dieu, et par-dessus tout, restons confiants en Sa bonté de Père...... Rien n’est plus agréable à Dieu que la foi et la confiance inébranlables au milieu des ténèbres. Exercez-vous beaucoup aux actes de confiance même quand vous ne sentez rien. C’est juste dans ces moments de sécheresse et de ténèbres que ces actes sont les plus méritoires, les plus agréables à Dieu et les plus utiles à votre âme. Les âmes ordinaires qui ne se sont pas données sans réserve à Dieu, ne trouvent aucune difficulté à faire des actes d’amour et de confiance en Dieu pendant le temps de consolation et de succès, mais c’est le propre des âmes que Dieu appelle à une union, à une familiarité plus intimes avec Lui, de s’obstiner à espérer en Lui malgré toutes les appa- rences qui tendraient à les faire douter des promesses divines. Ces âmes disent avec le saint homme Job: «Même s’Il me tue, j’espérerai en Lui.» (Job 13, 15) Ces âmes disent à Dieu: «Mon Dieu, Vous êtes mon Père. Votre Fils Jésus nous a dit que Vous êtes notre Père, que Vous nous aimez, et que Vous ne nous refu- sez jamais ce que nous Vous demandons en Son nom. Mon Dieu, je crois tout ceci, et bien que le monde, le diable, tout l’enfer me disent le contraire, je crois Votre parole simplement parce que Vous l’avez dit.» Dom Columba Marmion, Lettres de direction
Prions! – Pour être des âmes remplies de Dieu Le renoncement à tout Être attentif à Dieu Être des amants de la Croix La fidélité au Saint-Esprit – Pour que tout soit renouvelé La Prière – Pour être de vrais serviteurs de Dieu La fidélité dans les petites choses – Que les desseins de Dieu se réalisent La foi dans l’action de la Providence Prière et Pénitence L’adoration de Jésus Hostie – Pour vivre dans l’intimité de Dieu La lecture de l’Évangile – Pour que le règne de Dieu arrive La Prière – Pour hâter l’heure du salut de l’Église et du monde Invitation à la lutte – Puisse Dieu trouver des âmes généreuses Être vrai – Avec grâce et vérité La patience – Gracieusement! Se faire violence – Pour atteindre la sainteté Le sommet de l’adoration Nul ne peut servir deux maîtres Le mal de Dieu Ce qui plaît le plus à Dieu Vieillir est une grâce Le Secret du bonheur – Les Béatitudes La véritable essence de la Sainte Église de Jésus-Christ AVENT Préparez les voies du Seigneur AVENT Pour préparer la venue de Jésus AVENT Réveillez Votre puissance, Seigneur, et venez! NOËL Devant la Crèche NOËL Il est venu chez les Siens et les Siens ne L’ont pas reçu PÂQUES Jésus, Lumière du monde Le Purgatoire, instrument de la Miséricorde divine Une page d’Évangile – Jésus perdu et retrouvé au Temple La Visitation et le Magnificat L’Assomption de la Vierge Marie Le secret du Rosaire Marie, Mère de Dieu et notre Mère Glorieux Saint Joseph, notre modèle Saint Michel Archange, champion d’humilité

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